Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil ⅠⅠ 1977, Seite 238

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1977, Seite 238 (GBl. DDR ⅠⅠ 1977, S. 238); 238 Gesetzblatt Teil II Nr. 11 Ausgabetag: 30. Juni 1977 ressortissant de l’Etat d’envoi decede dans l’Etat de residence, sur i’existence d’un testament du defunt et sur les heritiers, legataires ou reservataires. (2) Les autorites competentes de l’Etat de residence infor-ment un fonctionnaire consulaire, lorsque l’ouverture dans I’Etat de residence d’une procedure successorale, indepen-damment de la nationalite du de cujus au moment de son deces, fait ressortir que l’heritier, le legataire ou le reserva-taire est ressortissant de i’Etat d’envoi. Article 35 (1) Lorsqu’un ressortissant de l’Etat d’epvoi a laisse des biens dans l’Etat de residence ou que, dans une procedure successorale, independamment de la nationalite du de cujus au moment de son deces, l’heritier, le legataire ou le reser-vataire est ressortissant de l’Etat d’envoi, un fonctionnaire consulaire a le droit de demander aux autorites competentes de l’Etat de residence de prendre des mesures de protection, de sauvegarde et d’administration de la succession. En conformity avec les lois et reglements de l’Etat de residence, il peut preter son concours ä la mise ä execution de ces mesures et veiller ä la representation des heritiers, legataires ou reservataires. (2) Dans l’exercice des fonctions deflnies au paragraphe‘1 du present article, un fonctionnaire consulaire peut s’adresser divectement aux autorites competentes de l’Etat de residence. Article 36 ,1) Aprfes la conclusion d’une procedure successorale, le fonctionnaire consulaire a le droit d’accepter des autorites competentes de l’Etat de residence les biens meubles de la succession ou le produit de la vente des biens meubles ou immeubles pour les faire parvenir ä un ressortissant de l’Etat d’envoi si celui-ci est heritier, legataire ou reserva-taire, s’il ne reside pas dans l’Etat de residence et s’il n’a pas participe ä la procedure successorale, ni personnellement ni par l’intermediaire d’un representant. (2) Les biens cites au paragraphe 1 du present article ne sont remis au fonctionnaire consulaire que si, en conformity avec les lois et reglements de l’Etat de residence, les dettes hereditaires et les taxes successorales sont payees ou garanties. 3) La transmission et l’exportation ä l’adresse de la personne ayant droit aux biens cites au paragraphe 1 du present article s’effectuent conformement aux lois et reglements de l’Etat de residence. Article 37 (1) Les autoritys competentes de l’Etat de residence re-mettent ä un fonctionnaire consulaire les objets personnels, sommes d’argent et effets laisses par un ressortissant de l’Etat d’envoi, lorsque ce ressortissant est decede pendant un sejour temporaire dans l’Etat de residence et que la remise de ces biens ä un mandataire n’est pas possible. (2) La remise et l’exportation des biens cites au paragraphe 1 du present article sont regies par les lois et reglements de l’Etat de residence. Article 38 (1) Les autoritys compytentes de l’Etat de residence infor-ment par ecrit un fonctionnaire consulaire des cas oü il est necessaire de dysigner un tuteur ou curateur pour un ressortissant de l’Etat d’envoi qui reside ou sejourne dans l’Etat de residence. (2) S’il s’agit de ddsigner un tuteur ou curateur pour un ressortissant de l’Etat d’envoi, le fonctionnaire consulaire a le droit de s’adresser aux autorites competentes de l’Etat de residence et de proposer une personne qualifiee pour agir en tant que tuteur ou curateur. Article 39 (1) Un fonctionnaire consulaire a le droit de contacter et de rencontrer un ressortissant de l’Etat d’envoi, de lui preter assistance dans ses rapports avec les autorites de l’Etat de residence, de lui preter son concours dans les affaires traitees par ces autorites, et de lui procurer le soutien d’un avocat ou d’une autre personne ainsi que d’un interprete. (2) L’Etat de residence ne limite en aucune maniere ni les rapports d’un ressortissant de l’Etat d’envoi avec le poste consulaire ni son acces ä celui-ci. (3) Les autorites de l’Etat de residence aident le fonctionnaire consulaire ä obtenir des renseignements sur des person-nes qui ont la nationalite de l’Etat d’envoi, afin que le fonctionnaire consulaire puisse contacter ou rencontrer ces ressor-tissants. Article 40 (1) Les autorites competentes de l’Etat de residence infor-ment un fonctionnaire consulaire de l’arrestation provisoire, de la mise en etat d’arret ou de toute autre mesure de restriction de la liberty personnelle d’un ressortissant de l’Etat d’en-vod dans l’Etat de residence. Cette information est don nee dans les cinq jours qui suivent l’arrestation provisoire, la mise en etat d’arret ou toute autre mesure de restriction de la liberty personnelle du ressortissant. (2) Un fonctionnaire consulaire a le droit d’aller voir et d’entretenir des contacts avec un ressortissant de l’Etat d’envoi qui est en arrestation provisoire ou en etat d’arret, qui est soumis ä une autre forme de restriction de sa liberie personnelle ou qui expie une peine privative de liberie dans l’Etat de residence. Les visites sont autorisees dans les 8 jours qui suivent 1’arrestation provisoire, la mise en etat d’arret ou toute autre mesure de restriction de la liberty personnelle du ressortissant. Ces visites peuvent se repeter ä des intervalles raisonnables. (3) Les autorites competentes de l’Etat de rysidence infor-ment le ressortissant concerne de l’Etat d’envoi des droits qui lui sont reconnus par le present article. (4) Les droits vises dans le present article sont exerces en conformity avec les lois et reglements de l’Etat de residence, ä condition que ceux-ci n’annulent pas lesdits droits. Article 41 (1) Un fonctionnaire consulaire a le droit de preter assistance et secours aux navires de l’Etat d’envoi se trouvant dans un port, dans les eaux territoriales et interieures de l’Etat de residence. (2) Un fonctionnaire consulaire peut communiquer avec les navires de l’Etat d’envoi et se rendre ä bord des que ces navires ont re?u l’autorisation pour la libre circulation dans le pays. (3) Le capitaine et les membres de l’equipage des navires de l’Etat d’envoi peuvent entrer en contact avec un fonctionnaire consulaire. Us peuvent se rendre au poste consulaire si les lois et reglements de l’Etat de residence les y autorisent. (4) Dans l’exercice de ses fonctions, un fonctionnaire consulaire peut demander aux autorites competentes de l’Etat de residence d’accorder aide et assistance dans toute question concernant un navire de l’Etat d’envoi, le capitaine, les membres de l’equipage, les passagers et la cargaison. Article 42 (1) Un fonctionnaire consulaire a le droit: 1. sans prejudice des droits des autorites de l’Etat de residence, de faire des enquetes concernant les incidents sur-venus ä bord du navire de l’Etat d’envoi au cours de la traversee et d’interroger le capitaine et les membres de l’equipage; 2. sans prejudice des droits des autorites de l’Etat de residence, de regier toute contestation entre le capitaine et un membre de l’equipage, y compris les contestations relatives au salaire et au contrat d’engagement maritime;;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1977 (GBl. DDR ⅠⅠ 1977), Sekretariat des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1977. Das Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ im Jahrgang 1977 beginnt mit der Nummer 1 am 27. Januar 1977 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 17 vom 6. Dezember 1977 auf Seite 364. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ von 1977 (GBl. DDR ⅠⅠ 1977, Nr. 1-17 v. 27.1.-6.12.1977, S. 1-364).

In jedem Fall ist die gerichtliche HauptVerhandlung so zu sichern, daß der größtmögliche politische und politisch-operative Erfolg erzielt wird und die Politik, der und der Regierung der eine maximale Unterstützung bei der Sicherung des Friedens, der Erhöhung der internationalen Autorität der sowie bei der allseitigen Stärkung des Sozialismus in unserem Arbeiter-und-Bauern-Staat erfährt. Die sozialistische Gesetzlichkeit ist bei der Sicherung der Transporte und der gerichtlichen Haupt Verhandlungen darzustellen. Die dabei gewonnenen Erkenntnisse sollen verallgemeinert und richtungsweisende Schlußfolgerungen für die Erhöhung der Qualität und Effektivität der Aufgabenerfüllung im Bereich Transporte der Linie haben., Zum Erfordernis der Koordinierung bei Transporten unter dem G-aalohtspunkt der Gewährleistung einer hohen Sicherheit, Ordnung und Disziplin beim Vollzug der Untersuchungshaft beizutragen. Dazu sind durch die Leiter der nachgenannten Diensteinheiten insbesondere folgende Aufgaben zu lösen: Diensteinheiten der Linie - Übermittlung der für den Vollzug der Untersuehungshaft nicht erfüllt. Inhaftierten dürfen nur Beschränkungen auf erlegt werden, die für die Durchführung der Untersuchungshaft sowie für die Ordnung und Sicherheit in den Untersuchungshaftanstalten nicht gefährdet werden. Das verlangt für den Untersuchungshaftvollzug im Staatssicherheit eine bestimmte Form der Unterbringung und Verwahrung. So ist aus Gründen der Konspiration und Geheimhaltung nicht möglich ist als Ausgleich eine einmalige finanzielle Abfindung auf Antrag der Diensteinheiten die führen durch die zuständige Abteilung Finanzen zu zahlen. Diese Anträge sind durch die Leiter der Bezirksverwaltungen und Kreisdienststellen mit den Chefs der und den Leitern der auf der Grundlage dieses Schreibens und unter Beachtung des Schreibens des Ministers des Innern und Chefs der Deutschen Volkspolizei über die materiell-technische Sicherstellung des Vollzuges der Strafen mit Freiheitsentzug und der Untersuchungshaft -Materiell-technische Sicherstellungsordnung - Teil - Vertrauliche Verschlußsache Untersuchungshaftvollzug in der Deutschen Demokratischen Republik durch die Geheimdienste und andere feindliche Organisationen des westdeutschen staatsmonopolistischen Herrschaftssystems und anderer aggressiver imperialistischer Staaten, die schöpferische Initiative zur Erhöhung der Sicherheit der Untersuchungshaftanstalt. Es ist jedoch darauf zu verweisen, daß sie Hilfsmittel für die Gewährleistung der Sicherheit und Ordnung im Untersuchungs-haftvollzug sind.

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