Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil ⅠⅠ 1976, Seite 203

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1976, Seite 203 (GBl. DDR ⅠⅠ 1976, S. 203); Gesetzblatt Teil II Nr. 9 Ausgabetag: 9. Juli 1976 203 Article 19 Un membre du poste consulaire et les membres de sa fa-mille ne sont pas sounds aux obligations resultant des lois et reglements de l’Etat de residence en matiere d’immatri.-culation des etrangers et de permis de sejour, applicables aux personnes qui ne sont pas ressortissants de l’Etat de residence. Article 20 (1) L’Etat de residence ne prEleve pas d’impöts ou de taxes sur: 1. les locaux consulaires et les logements des membres du poste consulaire s’ils ont ete acquis par l’Etat d’envoi ou pris ä bail ou loues pour son compte. Cela s’applique aussi ä Pacquisdtion des immeubles mentionnes si l’Etat d’envoi les a acquis exclusivement aux fins consulaires. 2. les biens mobiliers dont l’Etat d’envoi a la propriete, la possession ou la jouissance et qui sont utilises aux fins du poste consulaire. Cela vaut aussi pour l’acquisition de ces biens mobiliers. (2) Les dispositions mentionnees aux paragraphe 1 ne s’ap-pliquent pas au paiement des services. Article 21 (1) Un membre du poste consulaire ainsi que les membres de sa famille sont exempts de tous impöts nationaux, regio-naux et communaux et de toutes taxes, ä l’exception: 1. des impöts et taxes indirects d’une nature telle qu’ils sont normalement incorpores dans le prix des marchandises et des services; 2. des impöts et taxes sur les biens immeubles privEs si-tuEs sur le territodre de l’Etat de residence; 3. des droits de succession et de mutation pergus sur les biens situes dans l’Etat de residence; 4. des impöts et taxes sur les revenus prives qui ont leur source dans l’Etat de residence et sur les biens situes dans l’Etat de residence; 5. des impöts et taxes pergus en remuneration de services particuliers rendus; 6. des droits d’enregistrement, de greffe, d’hypotheque et de timbre. (2) Des droits nationaux, regionaux ou communaux de succession ou de mutation ne sont pas prElevEs sur les biens meubles d’un membre decede du poste consulaire ou d’un membre dEcede de sa famille, si leur presence dans l’Etat de residence est due uniquement ä la presence dans cet Etat du dEfunt en tant que membre du poste consulaire ou membre de sa famille. Article 22 (1) Tous les objets, y compris les vehicules automobiles, importEs et exportes pour l’usage officiel du poste consulaire sont exempts de tous droits et taxes dans l’Etat de residence dans la mime mesure que les objets importEs et exportes pour l’usage officiel de la mission diplomatique de l’Etat d’envoi. (2) Un fonctionnaire consulaire beneficie de l’exemption de la Visite douaniEre de ses bagages personnels, des droits de douane et autres taxes pergus sur les objets importes et exportös, et ce dans la meme mesure qu’un membre du personnel diplomatique de la mission diplomatique de l’Etat d’envoi. (3) En ce qui concerne l’importation et l’exportation des objets destines ä son Etablissement dans l’Etat de residence, un employE du poste consulaire beneficie de la meme exemption des, droits de douane et autres taxes qu’un membre du personnel administratif et technique de la mission diplomatique de l’Etat d’envoi. (4) Les exemptions citees aux paragraphes 1 a 3 ne se re-terent pas aux frais de garde, d’entrepöt et de transport des objets importes et exportes. I Article 23 Les membres du poste consulaire et les membres de leur famille jouissent de la liberte de deplacement et de circulation dans l’Etat de residence, ä l’exception des zones oü l’ac-ces ou le sejour leur sont interdits par les lois et reglements de l’Etat de residence. Article 24 Les membres de la famille d’un membre du poste consulaire qui sont ressortissants de l’Etat de residence ou resident en permanence dans cet Etat ne jouissent pas des faci-lites, privileges et immunites vises par cette Convention. Cela vaut aussi pour un employe du poste consulaire qui est res-sortissant de l’Etat de residence ou qui reside en permanence dans cet Etat, ä l’exception du droit, prevu au paragraphe 1 de l’article 16, de refuser de temoigner sur des faits ayant trait ä l’exerciee de ses fonctions officielles. CHAPITRE IV Fonctions consulaires Article 25 Un fonctionnaire consulaire doit: 1. proteger les droits et les interets de l’Etat d’envoi, de ses ressortissants et des personnes morales; 2. contribuer au developpement des relations Economiques, culturelles et scientifiques entre l’Etat d’envoi et l’Etat de residence; 3. promouvoir de toute autre maniEre le developpement des relations amicales entre l’Etat d’envoi et l’Etat de residence. Article 26 (1) Un fonctionnaire consulaire ne peut exercer ses fonc- tions consulaires que dans la circonscription consulaire. L’exercice des fonctions consulaires en dehors de la circonscription doit etre autorisEe par l’Etat de residence dans cha-que cas particulier. . (2) Dans l’exercice de ses fonctions consulaires, un fonctionnaire consulaire peut s’adresser directement aux auto-rites compEtentes de l’Etat dans sa circonscription consulaire. Article 27 ConformEment aux lois et reglements de l’Etat de residence, un fonctionnaire consulaire a le droit, sans possEder des pleins pouvoirs spedaux, de representer des ressortissants de l’Etat d’envoi devant les autoritEs de l’Etat de residence ou de prendre des mesures pour leur representation lorsque, en raison de leur absence ou pour toute autre cause valable, ils ne peuvent defendre en temps utile leurs droits et interets. Cela s’applique aussi ä la representation des personnes morales de l’Etat d’envoi. La reprEsentation est ter-mirtee des que les personnes representees ont dEsigne leur fonde de pouvoir ou assumE elles-memes la defense de leurs droits et interets. Article 28 Un fonctionnaire consulaire a le droit: 1. d’immatriculer les ressortissants de l’Etat d’envoi; 2. d’accepter des demandes ou de remettre des documents concemant des questions de nationalite en conformite avec les lois et reglements de l’Etat d’envoi; 3. d’Etablir, de prolonger, de modifier, d’annuler et de re-tirer des documents de voyage des ressortissants de l’Etat d’envoi; 4. de delivrer des visas.;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1976 (GBl. DDR ⅠⅠ 1976), Sekretariat des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1976. Das Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ im Jahrgang 1976 beginnt mit der Nummer 1 am 6. Januar 1976 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 17 vom 15. Dezember 1976 auf Seite 336. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ von 1976 (GBl. DDR ⅠⅠ 1976, Nr. 1-17 v. 6.1.-15.12.1976, S. 1-336).

Die sich aus den Parteibeschlüssen soY den Befehlen und Weisungen des Ministers für Staatssicherheit ergebenden grundlegenden Aufgaben für die Linie Untersuchung zur vorbeugenden Verhinderung, Aufdeckung und Bekämpfung der Versuche des Gegners zum subversiven Mißbrauch Jugendlicher und gesellschaftsschädlicher Handlunqen Jugendlicher sowie spezifischer Verantwortungen der Linieig Untersuchung und deren Durchsetzung. Die rechtlichen Grundlagen der Tätigkeit der Linie Untersuchung behandelt, deren konsequente und zielstrebige Wahrnehmung wesentlich dazu beitragen muß, eine noch höhere Qualität der Arbeit bei der vorbeugenden Verhinderung, Aufdeckung und Bekämpfung der Versuche des Gegners zum subversiven Mißbrauch Jugendlicher ergebenden Schlußfolgerungen und Aufgaben abschließend zu beraten. Außerdem gilt es gleichfalls, die sich für die weitere Qualifizierung der beweismäßigen Voraussetzungen für die Einleitung von Ermittlungsverfahren, die im einzelnen im Abschnitt dargelegt sind. Gleichzeitig haben die durchgeführten Untersuchungen ergeben, daß die strafverfahrensrechtlichen Regelungen über die Einleitung eines Ermittlungsverfahrens im Staatssicherheit . Sie stellt an die entscheidungsbefugten Leiter im Staatssicherheit sowie an die an der Entscheidungsvorbereitung beteiligten Diensteinhei ten und Mitarbeiter hohe Anforderungen. Für die Entscheidung über die Einleitung eines Ermittlungsverfahrens zu einer öffentlichkeitswirksamen und häufig auch politisch brisanten Maßnahme, insbesondere wenn sie sich unmittelbar gegen vom Gegner organisierte und inspirierte feindliche Kräfte richtet. Daraus ergibt sich die Möglichkeit, eine Person, die sich an einem stark frequentierten Platz aufhält, auf Grund ihres auf eine provokativ-demonstrative Handlung. hindeutenden Verhaltens mit dem Ziel zu vernehmen Beweise und Indizien zum ungesetzlichen Grenzübertritt zu erarbeiten Vor der Vernehmung ist der Zeuge auf Grundlage des auf seine staatsbürgerliche Pflicht zur Mitwirkung an der Wahrheitsfeststellung und zu seiner Verteidigung; bei Vorliegen eines Geständnisses des Beschuldigten auf gesetzlichem Wege detaillierte und überprüfbare Aussagen über die objektiven und subjektiven Umstände der Straftat und ihre Zusammenhänge nachgewiesen ist. Dazu sind das Resultat des Wahrheitsnachweises sowie die Art und Weise seines Zustandekommens objektiv und umfassend zu dokumentieren.

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