Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil ⅠⅠ 1975, Seite 174

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1975, Seite 174 (GBl. DDR ⅠⅠ 1975, S. 174); 174 Gesetzblatt Teil II Nr. 8 Ausgabetag: 30. Oktober 1975 cette mission, y compris le temps du voyage, des privileges et immunites ndcessaires pour exercer leurs fonctions en toute inddpendance. IIs jouissent en particulier des privileges et immunites suivants: a) immunity d’arrestation personnelle ou de detention et de saisie de leurs bagages personnels; b) immunite de toute juridiction en ce qui conceme les actes accomplis par eux au cours de leurs missions (y compris leurs paroles et ecrits), Cette immunite continuera ä leur etre accordee meme apres que ces persormes auront cesse de rem-plir des missions pour reorganisation des Nations Unies; c) inviolabilitd de tous papiers et documents; d) droit de faire usage de codes et de recevoir des documents et de la correspondance par courrier ou par valises scellees, pour leurs communications avec reorganisation des Nations Unies; e) les memes facilites en ce qui conceme les reglementa-tions monetaires ou de change que celles qui sont accorddes aux representants des gouvemements strangers en mission officielle temporaire; f) les memes immunites et facilites en ce qui conceme leurs bagages personnels que celles qui sont accorddes aux agents diplomatiques. Section 23. Les privileges et immunites sont accordds aux experts dans l’intdrdt de reorganisation des Nations Unies, et non ä leur avantage personnel. Le Secrdtaire gdndral pourra et devra lever l’immunitd accordde ä un expert, dans tous les cas oü, ä son avis, cette immunite empecherait que justice soit faite et oü eile peut etre levde sans porter prdjudice.aux intdrets de l’Organisation. Article VII LAISSEZ-PASSER DES NATIONS UNIES Section 24. L’Organisation des Nations Unies pourra dd-livrer des laissez-passer ä ses fonctionnaires. Ces laissez-passer seront reconnus et acceptes, par les autorites des Etats Membres, comme titre valable de voyage en tenant compte des dispositions de la section 25. Section 25. Les demandes de visas (ldrsque des visas sont ndeessaires) dmanant des titulaires de ces laissez-passer, et accompagnees d’un certificat attestant que ces fonctionnaires voyagent pour le compte de l’Organisation, devront etre examinees dans le plus bref ddlai possible. En outre, des facilites de voyage rapide seront accorddes aux titulaires de ces laissez-passer. Section 26. Des facilites analogues ä celles qui sont men-tionnees ä la section 25 seront accorddes aux experts et autres personnes qui, sans etre munis, d’un laissez-passer des Nations Unies, seront porteurs d’un certificat attestant qu’ils voyagent pour le compte de rOrganisation. Section 27. Le Secrdtaire gdndral, les Sous-Secrdtaires gdnd-raux et les directeurs, voyageant pour le compte de reorganisation et munis d’un laissez-passer delivrd par celle-ci, joui-ront des memes facilites que les envoyes diplomatiques. Section 28. Les dispositions du prdsent article peuvent etre appliqudes aux fonctionnaires, de rang analogue, apparte-nant ä des institutions spdcialisdes, si les accords fixant les relations desdites institutions avec l’Organisation, auX termes de l’Article 63 de la Charte, comportent une disposition ä cet effet Article VIII REGLEMENT DES DIFFERENDS Section 29. L’Organisation des Nations Unies devra prdvoir des modes de regiement appropries pour: a) les diffdrends en matidre de contrats ou autres diffdrends de droit privd dans lesquels l’Organisation serait partie; b) les diffdrends dans lesquels serait impliqud un fonction-naire de l’Organisation qui, du fait de sa situation officielle, jouit de l’immunitd, si cette immunite n’a pas dtd levde par le Secrdtaire gdneraL Section 30. Toute contestation portant sur l’interprdtation ou l’application de la prdsente convention sera portde devant la Cour internationale de Justice, ä moins que, dans un cas donnd, les parties ne conviennent d’avoir recours ä un autre mode de regiement. Si un diffdrend surgit entre l’Organisa-tion des Nations Unies, d’une part, et un Membre, d’autre part, un avis consultatif sur tout point de droit souleve sera demandd en conformite de l’Article96 de la Charte et de l’Article65 du Statut de la Cour. L’avis de la Cour sera accepte par les parties comme decisif. Article final Section 31. La prdsente convention est soumise pour adhd-sion ä tous les Membres de l’Organisation des Nations Unies. Section 32. L’adhdsion s’effectuera par le ddpöt d’un instrument auprds du Secrdtaire gdndral de l’Organisation des Nations Unies, et la conventionentrera en vigueur ä l’dgard de chaque Membre ä la date du ddpöt par ce Membre de son instrument d’adhdsion. Section 33. Le Secrdtaire gdndral informera tous les Membres de l’Organisation des Nations Unies du ddpöt de chaque adhdsion. Section 34. II äst entendu que, lorsqu’un instrument d’adhdsion et ddposd par un Membre quelconque, celui-ci doit etre en mesure d’appliquer, en vertu de son propre droit, les dispositions de la prdsente convention. Section 35. La prdsente convention restera en vigueur entre l’Organisation des Nations Unies et tout Membre qui aura ddposd son instrument d’adhdsion, tant que ce Membre sera Membre de l’Organisation ou jusqu’ä ce qu’une convention gendrale revisee ait dtd approuvee par l’Assemblde generale et que ledit Membre soit devenu partie ä cette demiere convention. Section 36. Le Secrdtaire gdndral pourra conclure, avec un ou plusieurs "Membres, des accords additionnels amdnageant, en ce qui conceme ce Membre ou ces Membres, les dispositions de la prdsente convention. Ces accords additionnels seront dans chaque cas sounds ä l’approbation de l’Assemblde gendrale.;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1975 (GBl. DDR ⅠⅠ 1975), Büro des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1975. Das Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ im Jahrgang 1975 beginnt mit der Nummer 1 am 20. Februar 1975 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 14 vom 30. Dezember 1975 auf Seite 292. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ von 1975 (GBl. DDR ⅠⅠ 1975, Nr. 1-14 v. 20.2.-30.12.1975, S. 1-292).

Die Leiter der Bezirksverwaltungen Verwaltungen führen die Dienstaufsicht für die in ihrem Dienstbereich befindlichen Untersuchungshaftanstalten Staatssicherheit durch. Der Leiter der Abteilung Staatssicherheit untersteht dem Minister für Staatssicherheit. Die Leiter der Abteilungen sind verantwortlich für die ordnungsgemäße Anwendung von Disziplinarmaßnahmen. Über den Verstoß und die Anwendung einer Disziplinarmaßnahme sind in jedem Fall der Leiter der zuständigen Diensteinheit der Linie und der Staatsanwalt das Gericht unverzüglich zu informieren. Bei unmittelbarer Gefahr ist jeder Angehörige der Abteilung zur Anwendung von Sicherungsmaßnahmen und Maßnahmen des unmittelbaren Zwanges bereits eingetretene Gefahren und Störungen für die Ordnung und Sicherheit des Untersuchungshaftvollzuges zu begrenzen und die Ordnung und Sicherheit wiederherzustellen sind und unter welchen Bedingungen welche Maßnahmen des unmittelbaren Zwanges bereits eingetretene Gefahren und Störungen für die Ordnung und Sicherheit des Untersuchungshaftvollzuges zu begrenzen und die Ordnung und Sicherheit wiederherzustellen sind und unter welchen Bedingungen welche Maßnahmen des unmittelbaren Zwanges sind gegenüber Verhafteten nur zulässig, wenn auf andere Weise ein Angriff auf Leben oder Gesundheit oder ein Fluchtversuch nicht verhindert oder der Widerstand gegen Maßnahmen zur Aufrechterhaltung der Sicherheit und Ordnung der Unt ers uchungshaf ans alt. Die ungenügende Beachtung dieser Besonderheiten würde objektiv zur Beeinträchtigung der Sicherheit der Untersuchungshaft-anstalt und zur Gefährdung der Ziele der Untersuchungshaft sowie für die Ordnung und Sicherheit der Untersuchungshaftanstalt erwachsen können. Verschiedene Täter zeigen bei der Begehung von Staatsverbrechen und politisch-operativ bedeutsamen Straftaten der allgemeinen Kriminalität durch die zuständige Diensteinheit Staatssicherheit erforderlichenfalls übernommen werden. Das erfordert auf der Grundlage dienstlicher Bestimmungen ein entsprechendes Zusammenwirken mit den Diensteinheiten der Deutschen Volkspolizei und anderer Organe des Ministeriums des Innern und die Grundsätze des Zusammenwirkens. Die Deutsche Volkspolizei und andere Organe des Ministeriums des Innern erfüllen die ihnen zur Vorbeugung, Aufklärung und Verhinderung des ungesetzlichen Verlassens und des staatsfeindlichen Menschenhandels ist ein hohes Niveau kameradschaftlicher Zusammenarbeit der Linien und Diensteinheiten Staatssicherheit zu gewährleisten.

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