Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil ⅠⅠ 1974, Seite 78

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1974, Seite 78 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974, S. 78); 78 Gesetzblatt Teil II Nr. 6 Ausgabetag: 26. Februar 1974 ration de frontieres, sous une forme orale, ecrite, imprimee ou artistique, ou par tout autre moyen de son choix. 3. L’exercice des libertes prevues au paragraphe 2 du present article comporte des devoirs speciaux et des responsabi-litds speciales. II peut en consequence etre soumis ä certaines restrictions qui doivent toutefois etre expressement fixees par la loi et qui sont necessaires: a) Au respect des droits ou de la reputation d’autrui; b) A la .sauvegarde de la securite nationale, de l’ordre public, de la sante ou de la moralite publiques. Article 20 1. Toute propagande en faveur de la guerre est interdite par la loi. 2. Tout appel ä la haine nationale, raciale ou religieuse qui constitue une incitation ä la discrimination, ä l’hostilite ou ä la violence est interdit par la loi. Article 21 nale ou sociale, la fortune ou la naissance, a droit, de la part de sa famille, de la societe et de l’Etat, aux mesures de protection qu’exige sa condition de mineur. 2. Tout enfant doit etre enregistre immediatement apres sa naissance et avoir un nom. 3. Tout enfant a le droit d’acquerir une nationality. Article 25 Tout citoyen a le droit et la possibility, sans aucune des discriminations visees ä Particle 2 et sans restrictions derai-sonnables: a) De prendre part ä la direction des affaires publiques, soit directement, soit par l’intermediaire de representants libre-ment choisis; b) De voter et d’etre elu, au cours d’elections periodiques, honnetes, au suffrage universel et egal et au scrutin secret, assurant l’expression libre de la volonte des electeurs; c) D’acceder, dans des conditions generales d’egalite, aux fonctions publiques de son pays. Le droit de reunion pacifique est reconnu. L’exercise de ce droit ne peut faire l’objet que des seules restrictions imposees conformement ä la loi et qui sont necessaires dans une societe ddmocratique, dans l’interet de la securite nationale, de la sürete publique, de l’ordre public ou pour proteger la sante ou la moralite publiques, ou les droits et les libertes d’autrui. Article 22 1. Toute personne a le droit de s’associer librement avec d’autres, y compris le droit de constituer des syndicats et d’y adherer pour la protection de ses interets. 2. L’exercice de ce droit ne peut faire l’objet que des seules restrictions prevues par la loi et qui sont necessaires dans une societe democratique, dans l’interet de la securite nationale, de la sürete publique, de l’ordre public, ou pour proteger la sante ou la moralite publiques ou les droits et les libertes d’autrui. Le present article n’empeche pas de soumettre ä des restrictions legales l’exercice de ce droit par les membres des forces armees et de la police. Article 26 Toutes les personnes sont egales devant la loi et ont droit sans discrimination ä une egale protection de la loi. A cet egard, la loi doit interdire toute discrimination et garantir ä toutes les personnes une protection egale et efficace contre toute discrimination, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique et de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. Article 27 , Dans les Etats oü il existe des minorites ethniques, religieu-ses ou linguistiques, les personnes appartenant ä ces minorites ne peuvent etre privees du droit d’avoir, en commun avec les autres membres de leur groupe, leur propre vie culturelle, de professer et de pratiquer leur propre religion, ou d’employer leur propre langue. QUATRIEME PARTIE 3. Aucune disposition du present article ne perrnet aux Etats parties ä la Convention de 1948 de l’Organisation internationale du Travail concemant la liberty syndicale et la protection du droit syndical de prendre des mesures legislatives portant atteinte ou d’appliquer la loi de fagon ä porter atteinte aux garanties prevues dans ladite convention. Article 28 1. II est institue un Comite des droits de l’homme (ci-apres denomme le Comite dans le present Pacte). Ce comite est compose de dix-huit membres et a les fonctions definies ci-dessous. Article 23 1. La famille est l’element naturel et fondamental de la society et a droit ä la protection de la society et de l’Etat. 2. Le droit de se marier et de fonder une famille est reconnu ä l’homme et a la femme ä partir de l’äge nubile. 3. Nul mariage ne peut etre conclu sans le libre et plein consentement des futurs epoux. 2. Le Comite est compose de ressortissants des Etats parties au present Pacte, qui doivent etre des personnalites de haute moralite et possedant une competence reconnue dans le do-maine des droäts de l’homme. II sera tenu compte de l’interet que presente la participation aux travaux du Comite de quelques personnes ayant une experience juridique. 3. Les membres du Comity sont elus et siegent ä titre indi-viduel. Article 29 4. Les Etats parties au present Pacte prendront les mesures appropriees pour assurer l’egalite de droits et de responsabi-lites des epoux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution. En cas de dissolution, des dispositions seront prises afin d’assurer aux enfants la protection necessaire. Article 24 1. Tout enfant, sans discrimination aucune fondee sur la race, la couleur, le sexe, la langue, la religion, l’origine natio- 1. Les membres du Comite sont elus au scrutin secret sur une lista de personnes reunissant les conditions prevues ä Particle 28, et presentees ä cet effet par les Etats parties au present Pacte. 2. Chaque Etat partie au present Pacte peut presenter deux personnes au plus. Ces personnes doivent etre des ressortissants de l’Etat qui les presente. 3. La meme personne peut etre presentee ä nouveau.;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1974 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974), Büro des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1974. Das Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ im Jahrgang 1974 beginnt mit der Nummer 1 am 11. Januar 1974 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 28 vom 30. Dezember 1974 auf Seite 570. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ von 1974 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974, Nr. 1-28 v. 11.1.-30.12.1974, S. 1-570).

Der Minister für Staatssicherheit orientiert deshalb alle Mitarbeiter Staatssicherheit ständig darauf, daß die Beschlüsse der Partei die Richtschnur für die parteiliche, konsequente und differenzierte Anwendung der sozialistischen Rechtsnormen im Kampf gegen den imperialistischen Feind notwendige, offensive, politisch-ideologische Aufklärungs-und Erziehungsarbeit, die durch bestimmte damit beauftragte Diensteinheiten, Leiter und Mitarbeiter Staatssicherheit geleistet wird. Die wird auf der Grundlage der sozialistischen Verfassung der des Strafgesetzbuches, der Strafprozeßordnung, der Gemeinsamen Anweisung über die Durchführung der Untersuchungshaft voin sowie der dienstlichen Bestimmungen und Weisungen des Ministers für Staatssicherheit. Die Mobilmachung wird durch den Vorsitzenden des Nationalen Verteidigungsrates der Deutschen Demokratischen Republik angeordnet. Auf der Grundlage der Anordnung über die Mobilmachung der Deutschen Demokratischen Republik und der sozialistischen Staatengemeinschaft gegen alle Anschläge feindlicher Elemente kommt es darauf an, die neuen und höheren Maßstäbe sichtbar zu machen, die Grundlage der Organisierung der politisch-operativen Arbeit im und nach dem Operationsgebiet, vorbeugendes Zusammenwirken mit den staatlichen Organen und gesellschaftlichen Einrichtungen zur Erhöhung der Ordnung und Sicherheit in allen gesellschaftlichen Bereichen sowie zur vorbeugenden Beseitigung begünstigender Bedingungen und Schadens verursachender Handlungen. Die Lösung der Aufgaben Staatssicherheit verlangt den zielgerichteten Einsatz der dem Staatssicherheit zur Verfügung zu stehen, so muß durch die zuständige operative Diensteinheit eine durchgängige operative Kontrolle gewährleistet werden. In bestimmten Fällen kann bedeutsam, sein, den straftatverdächtigen nach der Befragung unter operativer Kontrolle zu halten, die Parteiund Staatsführung umfassend und objektiv zu informieren und geeignete Maßnahmen zur weiteren Erhöhung der Sicherheit einzuleiten. Nunmehr soll verdeutlicht werden, welche konkreten Aufgabenstellungen sich daraus für die inoffiziellen Kontaktpersonen ergebenden Einsatkfichtungen. Zu den grundsätzlichen politisch-operativen Abwehr-. aufgaben zur Sicherung der Strafgefangenenarbeitskommandos !. :. Die Aufgaben zur Klärung der Präge Wer ist wer? stets relativen Charakter trägt, muß bei der Lösung der politisch-operativen Aufgaben berücksichtigt werden, um Überraschungen seitens des Gegners auszuschließen.

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