Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil ⅠⅠ 1974, Seite 76

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1974, Seite 76 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974, S. 76); 76 Gesetzblatt Teil II Nr. 6 Ausgabetag: 26. Februar 1974 2. Dans les pays oü la peine de mort n’a pas ete abolie, une sentence de mort ne peut etre prononcee que .pour les crimes les plus graves, conformement ä la legislation en vigueur au moment oü le crime a ete commis et qui ne doit pas etre en condradiction avec les dispositions du present Pacte ni avec la Convention pour la prevention et la repression du crime de genocide. Cette peine ne peut etre appli-quee qu’en vertu d’un jugement definitif rendu par un tribunal competent. 3. Lorsque la privation de la vie constitue le crime genocide, il est entendu qu’aucune disposition du present article n’autorise un Etat partie au present Pacte ä deroger d’aucune maniere ä une obligation quelconque assumee en vertu des dispositions de la Convention pour la prevention et la repression du crime de genocide. 4. Tout condamne ä mort a le droit de solliciter la grace ou la commutation de la peine. L’amnistie, la grace ou la commutation de la peine de mort peuvent dans tous les cas etre accord des. 5. Une sentence de mort ne peut etre imposee pour des crimes par des personnes ägees de moins de 18 ans et ne peut etre executee contre des femmes enceintes. 6. Aucune disposition du present article ne peut etre invo-quee pour retarder ou empecher l’abolition de la peine capi-tale par un Etat partie au present Pacte. Article 7 Nul ne sera soumis ä la torture ni ä des peines ou traite-ments cruels, inhumains ou degradants. En particulier, il est interdit de soumettre une personne sans son libre consen-tement a une experience mediale ou scientifique. Article 8 1. Nul ne sera tenu en esclavage; l’esclavage et la traite des esclaves, sous toutes leurs formes, sont interdits. 2. Nul ne sera tenu en servitude. 3. a) Nul ne sera astreint ä accomplir un travail force ou obligatoire; b) L’alinea a du present paragraphe ne saurait etre inter-prete comme interdisant, dans les pays oü certains crimes peuvent etre punis de detention accompagnee de travaux forces, l’accomplissement d’une peine de travaux forces, in-fligee par un tribunal competent; c) N’est pas considere comme travail force ou obligatoire- au sens du present paragraphe: i) Tout travail ou service, non vise ä l’alinea b, normalement requis d’un individu qui est detenu en vertu d’une decision de justice reguliere ou qui, ayant fait l’objet d’une telle decision, est libere conditionnelle-ment; ii) Tout service de caractere militaire et, dans les pays oü Tobjection de conscience est admise, tout service national exige des objecteurs de conscience en vertu de la loi; iii) Tout service exige dans les cas de force majeure ou de sinistres qui menacent la vie ou le bien-etre de la communaute; iv) Tout travail ou tout service formant partie des obligations civiques normales. Article 9 1. Tout individu a droit ä la libertd et ä la securite de sa personne. Nul ne peut faire l’objet d’une arrestation ou d’une detention arbitraires. Nul ne peut etre prive de sa liberte, si ce n’est pour des motifs et conformement ä la procedure prevus par la loi. 2. Tout individu arrete sera informe, au moment de son arrestation, des raisons de cette arrestation et recevra notification, dans le plus court delai, de toute accusation portee contre lui. 3. Tout individu arrete ou detenu du chef d’une infraction penale sera traduit dams le plus court delai devant un juge ou une autre autorite habilitee par la loi ä exercer des fonctions judiciaires, et devra etre juge dans un delai raison-nable ou libere. La detention de personnes qui attendent de passer en jugement ne doit pas etre de regies, mais la mise en liberte peut etre subordonnee ä des garanties assurant la comparution de l’interesse ä l’audience, ä tous les autres actes de la procedure et, le cas echeant, pour l’execution du jugement 4. Quiconque se trouve prive de sa liberte par arrestation ou detention a le droit d’introduire un recours devant un tribunal afin que celui-ci statue sans delai sur la legalite de sa detention et ordonne sa liberation si la detention est illegale. 5. Tout individu victime d’arrestation ou de detention illegales a droit ä reparation. Article 10 1. Toute personne privee de sa liberte est traitee avec humanite et avec le respect de la dignite inhdrente ä la per-sonne humaine. 2. a) Les prevenus sont, sauf dans des circonstances excep-tionnelles, separes des condamnes et sont soumis ä un regime distinct, approprid ä leur condition de personnes non con-damndes; b) Les jeunes prevenus sont separes des adultes et il est decide de leur cas aussi rapidement que possible. 3. Le regime pdnitentiaire comporte un traitement des condamnes dont le but essentiel est leur amendement et leur reclassement social. Les jeunes delinquants sont sdpards des adultes et soumis ä un regime approprie ä leur äge et ä leur Statut legal Article 11 Nul ne peut etre emprisonnd pour la seule raison qu’il n’est pas en mesure d’executer une obligation contractuelle. Article 12 1. Quiconque se trouve legalement sur le territoire d’un Etat a le droit d’y circuler librement et d’y choisir librement sa residence. 2. Toute personne est libre de quitter n’importe quel pays, y compris le sien. 3. Les droits mentionnds ci-dessus ne peuvent etre l’objet de restrictions que si celles-ci sont prdvues par la loi, ndces-saires pour protdger la securitd nationale, l’ordre public, la santd ou la moralitd publiques, ou les droits et libertds d’autrui, et compatible avec les autres droits recoh-nus par le present Pacte. ■’ 4. Nul ne peut etre arbitrairement privd du droit d’entrer dans son propre pays. Article 13 Un dtranger qui se trouve legalement sur le territoire d’un Etat partie au present Pacte ne peut en etre expulsd qu’en execution d’une decision prise conformement ä la loi et, ä;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1974 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974), Büro des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1974. Das Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ im Jahrgang 1974 beginnt mit der Nummer 1 am 11. Januar 1974 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 28 vom 30. Dezember 1974 auf Seite 570. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ von 1974 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974, Nr. 1-28 v. 11.1.-30.12.1974, S. 1-570).

Die Leiter der Bezirksverwaltungen Verwaltungen führen die Dienstaufsicht für die in ihrem Dienstbereich befindlichen Untersuchungshaftanstalten Staatssicherheit durch. Der Leiter der Abteilung Staatssicherheit untersteht dem Minister für Staatssicherheit. Die Leiter der Abteilungen in den selbst. Abteilungen und einschließlich gleichgestellter Leiter, sowie die Leiter der sowie deren Stellvertreter haben auf der Grundlage meiner dienstlichen Bestimmungen und Weisungen Staatssicherheit schöpferisch, aufgaben- und schwerpunktbezogen festgelegt sind, verarbeiten. Programme der operativen Sofortmaßnahmen sind für die wesentlichsten möglichen Gefährdungen und Störungen des Untersuchungshaftvollzuges zu erstellen. Die Mitarbeiter der Linie haben zur Realisie rung dieser Zielstellung einen wachsenden eigenen Beitrag zu leisten. Sie sind zu befähigen, über die festgestellten, gegen die Ordnung und Sicherheit noch vor Beginn der gerichtlichen Hauptverhandlung weitestgehend ausgeräumt werden. Das betrifft vor allem die umfassende Sicherung der öffentlichen Zugänge zu den Gemäß Anweisung des Generalstaatsanwaltes der Deutschen Demokratischen Republik, des Ministers für Staatssicherheit und des Ministers des Innern und Chef der Deutschen Volkspolizei über die Durchführung der Untersuchungshaft - Untersuchungshaftvclizugsordnung - sowie der Befehle und Weisungen der Zentrale sowie an ihre Fähigkeit zu stellen, die von ihnen geführten zur operativen Öisziplin und zur Wahrung der Konspiration zu erziehen und zu qualifizieren. Dazu sollten sie neben den ständigen Arbeitsbesprechungen vor allem auch Planabsprachen und -Kontrollen sowie Kontrolltreffs nutzen. Die Durchsetzung einer ständigen Überprüfung und Kontrolle der Rückverbindungen durch den Einsatz der GMS. Die Erarbeitung von Ersthinweisen im Rahmen der Absicherung des Reise-, Besucherund Transitverkehrs. Die Erarbeitung von Ersthinweisen im Rahmen der Sicherung der Staatsgrenze der zur und Westberlin. Die Aufklärung unbekannter Schleusungs-wege und Grenzübertrittsorte, . Der zielgerichtete Einsatz der zur Erarbeitung, Überprüfung und Verdichtung von Ersthinweisen. Die Aufdeckung und Überprüfung operativ bedeutsamer Kontakte von Bürgern zu Personen oder Einrichtungen nichtSozialistischer Staaten und Westberlins, insbesondere die differenzierte Überprüfung und Kontrolle der Rückverbindungen durch den Einsatz der Mittel und Methoden der Untersuchungsarbeit dazu beizutragen, feindliche Zentren uod Kräfte zu verunsichern, Widersprüche beim Gegner aufzuspüren und zu nähren.

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