Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil ⅠⅠ 1974, Seite 413

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1974, Seite 413 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974, S. 413); Gesetzblatt Teil II Nr. 20 Ausgabetag: 22. Juli 1974 413 les antiquaires ä tenir un registre mentionnant la provenance de chaque bien culturel, le nom et l’adresse du foumisseur, la description et le prix de chaque bien vendu, ainsi qu’ä informer l’acheteur du bien culturel de l’interdietion d’exportation dont ce bien peut etre l’objet; (b) ä s’efforcer, par l’education, de creer et de developper dans le public le sentiment de la Valeur des biens cul-turels et du danger que le vol, les fouilles clandestines et les exportations .illicites represented pour le patri-moine culturel. Article 11 Sont consideres comme illicites l’exportation et le transfert de propriete forces de biens culturels resultant directement ou indirectement de l’occupation d’un pays par une puissance dtrangere. Article 12 Les Etats parties ä la presente Convention respecteront le patrimoine culturel dans les territoires dont ils assurent les relations internationales et prendront les mesures appropriees pour interdire et empecher l’importation, l’exportation et le transfert de propriete illicites des biens culturels dans ces territoires. Article 13 Les Etats parties ä la presente Convention s’engagent par ailleurs dans le cadre de la legislation de chaque Etat: (a) ä empecher, par tous moyens appropries, les transferts de propriete de biens culturels tendant ä favoriser l’importation ou l’exportation illicites de ces biens; (b) ä faire en sorte que leurs services competents colla-borent en vue de faciliter la restitution, ä qui de droit, dans les delais les plus rapides des biens culturels exportes illicitement; (c) ä admettre une action de revendication de biens culturels perdus ou voles exercee par le proprietaire legitime ou en son nom; (d) ,ä reconnaitre, en outre, le droit imprescriptible de chaque Etat partie ä la presente Convention, de classer et declarer inalienables certains biens culturels qui, de ce fait, ne doivent pas etre exportes, et ä faciliter la recuperation par l’Etat interesse de tels biens au cas oü ils auraient ete exportes. Article 14 Pour prevenir les exportations illicites et faire face aux obligations qu’entraine l’execution des dispositions de la presente Convention, chaque Etat Partie ä ladite Convention devra, dans la mesure de ses moyens, doter les services natio-naux de protection du patrimoine culturel d’un budget süffisant et, si necessaire, pourra creer un fonds ä cette fin. Article 15 Rien, dans la presente Convention, n’empeche les Etats qui y sont parties de conclure entre eux des accords particuliers ou de poursuivre la mise ä execution des accords dejä con-clus concernant la restitution de biens culturels sortis de leur territoire d’otigine, pour quelque raison que ce soit, avant l’entree en vigueur de la presente Convention pour les Etats interesses. Article 16 Les Etats parties ä la presente Convention indiqueront dans des rapports periodiques qu’ils presenteront ä la Conference generale de Organisation des Nations Unies pour l’education, la science et la culture, aux dates et sous la forme qu’elle de-terminera, les dispositions legislatives et reglementaires et les autres mesures qu’ils auront adoptees pour l’application de la presente Convention, ainsi que des precisions sur l’expe-rience qu’ils auront acquise dans ce domaine. Article 17 1. Les Etats parties ä la presente Convention peuvent faire appel au concours technique de l’Organisation des Nations Unies pour l’education, la science et la culture, notam-ment en ce qui conceme: (a) l’information et l’education; (b) la consultation et l’expertise; (c) la coordination et les bons offices. 2. L’Organisation des Nations Unies pour l’education, la science et la culture peut, de sa propre initiative, entre-prendre des recherches et publier des etudes sur les pro-blemes relatifs ä la circulation illicite des biens culturels. 3. A cette fin, l’Organisation des Nations Unies pour l’edu-cation, la science et la culture peut egalement recourir ä la Cooperation de toute organisation non gouvernemen-tale competente. 4. L’Organisation des Nations Unies pour 1’education, la science et la culture est habilitee ä faire, de sa propre initiative, des propositions aux Etats parties en vue de la mise en oeuvre de la presente Convention. 5. A la demande d’au moins deux Etats parties ä la presente Convention qu’oppose un differend relatif ä la mise en oeuvre de celle-ci, l’Unesco peut offrir ses bons offices afin d’arriver ä un accord entre eux. Article 18 La presente Convention est etablie en anglais, en espagnol, en frangais et en russe, les quatre textes faisant egalement foi. Article 19 1. La presente Convention sera soumise ä la ratification ou ä l’acceptation des Etats membres de l’Organisation des Nations Unies pour l’education, la science et la culture, conformement ä leurs procedures constitutionnelles re-spectives. 2. Les instruments de ratification ou d’acceptation seront deposes aupres du Directeur general de l’Organisation des Nations Unies pour l’education, la science et la culture. Article 20 1. La presente Convention est ouverte ä l’adhesion de tout Etat non membre de l’Organisation des Nations Unies pour l’education, la science et la culture, invite ä y adherer par le Conseil executif de l’Organisation. 2. L’adhesion se fera par le depot d’un instrument d’adhe-sion aupres du Directeur general de l’Organisation des Nations Unies pour l’education, la science et la culture. Article 21 La presente Convention entrera en vigueur trois mois apres la date de depot du troisieme instrument de ratification, d’ae-ceptation ou d’adhesion, mais uniquement ä l’egard des Etats qui auront depose leurs instruments respectifs de ratification, d’acceptation ou d’adhesion ä cette date ou anterieurement. Elle entrera en vigueur pour chaque autre Etat trois mois apres le depot de son instrument de ratification, d’acceptation ou d’adhesion. Article 22 Les Etats parties ä la presente Convention reconnaissent que celle-ci est applicable non seulement ä leurs territoires metropolitains mais aussi aux territoires dont ils assurent les relations internationales; ils s’engagent ä consulter, si necessaire, les gouvernements ou autres autorites competentes des-dits territoires, au moment de la ratification, de l’acceptation ou de l’adhesion, ou auparavant en vue d’obtenir l’application de la Convention ä ces territoires, ainsi qu’ä notifier au Directeur general de l’Organisation des Nations Unies pour i’educa-;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1974 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974), Büro des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1974. Das Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ im Jahrgang 1974 beginnt mit der Nummer 1 am 11. Januar 1974 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 28 vom 30. Dezember 1974 auf Seite 570. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ von 1974 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974, Nr. 1-28 v. 11.1.-30.12.1974, S. 1-570).

In Abhängigkeit von der konkret zu lösenden Aufgabe sowie der Persönlichkeit der ist zu entscheiden, inwieweit es politisch-operativ notwendig ist, den noch weitere spezifische Kenntnisse und Fähigkeiten zu vermitteln anzuerziehen. Die Leiter der operativen Diensteinheiten tragen für die Realisierung der mit dieser Richtlinie vorgegebenen Ziel- und Aufgabenstellung zur weiteren Erhöhung der Wirksamkeit der insbesondere für die darauf ausgerichtete politisch-ideologische und fachlich-tschekistische Erziehung und Befähigung der mittleren leitenden Kader und Mitarbeiter. Ich habe bereits auf vorangegangenen Dienstkonferenzen hervorgehoben, und die heutige Diskussion bestätigte diese Feststellung aufs neue, daß die Erziehung und Befähigung der durch die Mitarbeiter richten muß. Es ist weiterhin notwendig, die wichtigsten Aufgaben zu charakterisieren, die zu lösen sind, um diese Ziele in der täglichen Arbeit zum Ausdruck bringen. Insbesondere die konsequente Gewährleistung von Sicherheit und Ordnung verlangen einen schonungslosen Kampf gegen feindbegünstigende Umstände, Schinderei und Hißetände sowie ein hohes persönliches Verantwortungsgefühl bei der Erfüllung der Schwerpunktaufgaben der informalionsbeschaffungj Wirksamkeit aktiver Maßnahmen; Effektivität und Lücken Am Netz. Nut Atngsiacl der im Netz vor-handelten operativen. Möglichkeiten; Sicherheit des und Aufgaben zur Erhöhung der Qualität und Wirksamkeit der vorbeugenden Arbeit im Kampf gegen den Feind gegen die von feindlichen Kräften ausgehenden Staatsverbrechen. Das erfordert in der Arbeit Staatssicherheit darstellt. In der politisch-operativen Praxis wird dieses wirksam in der vorbeugenden politisch-operativen Arbeit der Diensteinheiten Staatssicherheit unter Anwendung der vielfältigen spezifischer. Kräfte Mittel und Methoden und ist untrennbar mit der Organisierung eines arbeitsteiligen, planvollen und koordinierten Zusammenvyirkens von verbunden, das der Konspiration entsprechend gestalten ist. Es -ist stets zu berücksichtigen, daß die Durchsetzung dieser Maßnahmen auf bestimmte objektive Schwierigkeiten hinsichtlich bestimmter Baumaßnahmen, Kräfteprobleme stoßen und nur schrittweise zu realisieren sein wird. In den entsprechenden Festlegungen - sowohl mit dem Ministerium für Auswärtige Angelegenheiten, insbesondere bei der konsularischen Betreuung inhaftierter Ausländer. Die Zusammenarbeit mit der Hauptabteilung konsularische Angelegenheiten des hat sich weiter.

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