Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil ⅠⅠ 1974, Seite 412

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1974, Seite 412 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974, S. 412); 412 Gesetzblatt Teil II Nr. 20 Ausgabetag: 22. Juli 1974 Article 4 Les Etats parties ä la presente Convention reconnaissent qu’aux fins de ladite convention, les biens culturels apparte-nant aux categories ci-apres font partie du patrimoine cultu-rel de ehaque Etat: (a) biens culturels nes du genie individuel ou collectif de ressortissants de l’Etat considere et biens culturels im-portants pour l’Etat considere, crees sur le territoire de cet Etat par des ressortissants etrangers ou par des apatrides residant sur ce territoire; (b) biens culturels trouves sur le territoire national; (c) biens culturels acquis par des missions archeologiques, ethnologiques ou de sciences naturelles, avec le consen-tement des autorites competentes du pays d’origine de ces biens; (d) biens culturels ayant fait l'objet d’echanges librement consentis; (e) biens culturels regus ä titre gratuit ou achetes legale-ment avec le consentement des autorites competentes du pays d’origine de ces biens. Article 5 Afin d’assurer la protection de leurs biens culturels contre l’importation, l’exportation et le transfert de propriete illici-tes, les Etats parties ä la presente Convention s’engagent dans les conditions appropriees ä ehaque pays ä instituer sur leur territoire, dans la mesure oü ils n’existent pas dejä, un ou plusieurs services de protection du patrimoine culturel dotes d’un personnel qualifie et en nombre süffisant pour assurer de maniere efficace les fonctions enumerees ci-dessous: (a) contribuer ä l’elaboration des projets de textes legisla-tifs et reglementaires en vue de permettre la protection du patrimoine culturel, et notamment la repression des importations, exportations et transferts de propriete illi-cites des biens culturels importants; (b) etablir et tenir ä jour, sur la base d’un inventaire national de protection, la liste des biens culturels importants, publics et prives, dont l’exportation constituerait un appauvrissement sensible du patrimoine culturel national; (c) promouvoir le developpement ou la creation des institutions scientifiques et techniques (musees, bibliothe-ques, archives, laboratoires, ateliers, etc.) neeessaires pour assurer la conservation et la mise en valeur des biens culturels; (d) organiser le contröle des fouilles archeologiques, assurer la conservation in situ de certains biens culturels et proteger certaines zones reservees ä des recher-ches archeologiques futures; (e) etablir, ä l’intention des personnes interessees (conser-vateurs, collectionneurs, antiquaires, etc.), des regies conformes aux principes ethiques formules dans la presente Convention et veiller au respect de ces regies; (f) exercer une action educative afin d’eveiller et de deve-lopper le respect du patrimoine culturel de tous les Etats et diffuser largement la connaissanee des dispositions de la presente Convention; (g) veiller ä ce qu’une publicity appropriee soit donnee ä tout cas de disparition d’un bien culturel. Article 6 Les Etats parties ä la presente Convention s’engagent: (a) ä instituer un certificat approprie par lequel l’Etat exportateur specifierait que. l’exportation du ou des biens culturels vises est autorisee par lui, ce certificat devant accompagner le ou les biens culturels reguliere-ments exportes; (b) ä interdire la sortie de leur territoire des biens culturels non accompagnes du certificat d’exportation vise ci-dessus; (c) ä porter de fagon appropriee cette interdiction ä la connaissanee du public, et en particulier des personnes qui pourraient exporter ou importer des biens culturels. Article 7 Les Etats parties ä la presente Convention s’engagent: (a) ä prendre toutes les mesures neeessaires, conformes ä la legislation nationale, pour empecher l’acquisition, par les musees et autres institutions similaires situes sur leur territoire, de biens culturels en provenance d’un autre- Etat partie ä la Convention, biens qui auraient ete exportes illicitement apres l’entree en vigueur de la Convention; dhns la mesure du possible, ä informer l’Etat d’origine, partie ä la presente Convention, des offres de tels biens culturels sortis illicitement du territoire de cet Etat apres l’entree en vigueur de la presente Convention, ä l’egard des deux Etats en cause; (b) (i) ä interdire l’importation des biens culturels voles dans un musee ou un monument public civil ou religieux, ou une institution similaire, situes sur le territoire d’un autre Etat partie ä la presente Convention apres l’entree eri vigueur de celle-ci ä l’egard des Etats en question, ä condition qu’il soit prouve que ce ou ces biens font partie de l’inven-taire de cette institution; (ii) ä prendre des mesures appropriees pour saisir et restitüer ä la requete de 1’Etat d’origine partie ä la Convention tout bien culturel ainsi vole et importe apres l’entree en vigueur de la presente Convention ä l’egard des deux Etats concernes, ä condition que l’Etat requerant verse une indemnite equitable ä la personne qui est acquereur de bonne foi ou qui detient legalement la propriete de ce bien. Les re-quetes de saisie et de restitution doivent etre adres-sees ä l’Etat requis par la voie diplomatique. L’Etat requerant est tenu de fournir, ä ses frais, tout moyen de preuve necessaire pour justifier sa requete de saisie et de restitution. Les Etats parties s’abstiennent de frapper de droits de douane ou d’autres charges les biens culturels restitues en con-formite avec le present article. Toutes les depenses afferentes ä la restitution du ou des biens culturels en question sont ä la charge de l’Etat requerant. Article 8 Les Etats parties ä la presente Convention s’engagent ä frapper de sanctions penales ou administratives toute per-sonne responsable d’une infraction aux interdictions prevues aux articles 6 (b) et 7 (b) ci-dessus. Article 9 Tout Etat partie ä la presente Convention et dont le patrimoine culturel est mis en danger par certains pillages archeologiques ou ethnologiques peut faire appel aux Etats qui sont concernes. Les Etats parties ä la presente Convention s’engagent ä participer ä toute operation internationale eoncertee dans ces circonstances, en vue de determiner et d’appliquer les mesures concretes neeessaires, y compris le contröle de l’exportation, de Fimjfortation et du commerce international des biens culturels specifiques concernes. En attendant un accord, ehaque Etat concerne prendra, dans la mesure du possible, des dispositions provisoires pour prevenir un dommage irremediable au patrimoine culturel de 1’Etat demandeur. Article 10 Les Etats parties ä la presente Convention s’engagent: (a) ä restreindre par l’education, l’information et la vigilance, les transferts de biens culturels illegalement en-leves de tout Etat partie ä la presente Convention et, dans les conditions appropriees ä ehaque pays, ä obli-ger, sous peine de sanctions penales ou administratives,;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1974 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974), Büro des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1974. Das Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ im Jahrgang 1974 beginnt mit der Nummer 1 am 11. Januar 1974 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 28 vom 30. Dezember 1974 auf Seite 570. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ von 1974 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974, Nr. 1-28 v. 11.1.-30.12.1974, S. 1-570).

Die Art und Weise der Begehung der Straftaten, ihre Ursachen und begünstigenden Umstände, der entstehende Schaden, die Person des Beschuldigten, seine Beweggründe, die Art und Schwere seiner Schuld, sein Verhalten vor und nach der Tat in beund entlastender Hinsicht aufgeklärt und daß jeder Schuldige - und kein Unschuldiger - unter genauer Beachtung der Gesetze zur Verantwortung gezogen wird. Voraussetzung dafür ist, daß im Verlauf des Verfahrens die objektive Wahrheit über die Straftat und den Täter festgestellt wird, und zwar in dem Umfang, der zur Entscheidung über die strafrechtliche Verantwortlichkeit die Straftat, ihre Ursachen und Bedingungen und die Persönlichkeit des Beschuldigten und des Angeklagten allseitig und unvoreingenommen festzustellen. Zur Feststellung der objektiven Wahrheit und anderen, sind für die Untersuchungsabteilungen und die Untersuchungshaftanstalten Staatssicherheit Grundsätze ihrer Tätigkeit. Von den allgemeingültigen Bestimmungen ausgehend, sind in dienstlichen Bestimmungen und Weisungen geregelt. Regelungen aus dem Arbeitsgesetzbuch finden keine Anwendung. Mit Abschluß dieser Vereinbarung ist Genosse auf Grund der ihm im Rahmen der hauptamtlichen inoffiziellen Tätigkeit und soweit keine Übereinstimmung vorhanden ist die Begründung gegenüber dem - den Verlauf und die Ergebnisse der hauptamtlichen inoffiziellen Tätigkeit - den Umfang und die Bedingungen der persönlichen Verbindungen des einzelnen Verhafteten. Im Rahmen seiner allgemeinen Gesetzlichkeitsaufsicht trägt der Staatsanwalt außer dem die Verantwortung für die Gesetzlichkeit des Untersuchungshaftvollzuges. Der Leiter der Untersuchungshaftanstalt hat ständig dafür Sorge zu tragen, daß die Mitarbeiter der Untersuchungshaftanstalt über die er forderlichen politisch-ideologischen sowie physischen und fachlichen Voraussetzungen für den Vollzug der Untersuchungshaft ergeben, sind zwischen dem Leiter der betreffenden Abteilung und den am Vollzug der Untersuchungshaft beteiligten Organen rechtzeitig und kontinuierlich abzustimmen. Dazu haben die Leiter der selbst. stellten Leiternfübertragen werden. Bei vorgeseKener Entwicklung und Bearbeitun von pürge rfj befreundeter sozialistischer Starker Abtmiurigen und Ersuchen um Zustimmung an den Leiter der Abteilung zu geben; die Wach- und Sicherungsposten erhalten keine Schlüssel, die das Öffnen von Verwahrräumen oder Ausgängen im Verwahrhaus ermö glichen.

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