Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil ⅠⅠ 1974, Seite 411

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1974, Seite 411 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974, S. 411); Gesetzblatt Teil II Nr. 20 Ausgabetag: 22. Juli 1974 411 CONVENTION CONCERNANT LES MESURES A PRENDRE POUR INTERDIRE ET EMPECHER IMPORTATION, L’EXPORTATION ET LE TRANSFERT DE PROPRIETE ILLICITES DES BIENS CULTURELS La Conference generale de l’Organisation des Nations Unies pour Feducation, la science et la culture, reunie ä Paris, du 12 octobre au 14 novembre 1970 en sa seizieme session, Rappelant l’importance des dispositions de la Declaration des principes de la cooperation culturelle internationale adoptee par la Conference generale ä sa quatorzieme session, Considerant que Fechange de biens culturels entre nations ä des fins scientifiques, culturelles et educatives approfondit la connaissance de la civilisation humaine, enrichit la vie culturelle de tous les peuples et fait naitre le respect et l’es-time mutuels entre les nations, Considerant que les biens culturels sont un des elements fondamentaux de la civilisation et de la culture des peuples, et qu’ils ne prennent leur valeur reelle que si leur origine, leur histoire et leur environnement sont connus avec la plus grande precision, Considerant que chaque Etat a le devoir de proteger le pa-trimoine constitue par les biens culturels existant sur son territoire contre les dangers de vol, de fouilles clandestines et d’exportation illicite, Considerant que, pour parer ä ces dangers, il est indispensable que chaque Etat prenne davantage conscience des obligations morales touchant au respect de son patrimoine cul-turel comme de celui de toutes les nations, Considerant que les musees, les bibliotheques et les archives, en tant qu’institutions culturelles, doivent veiller ä ce que la Constitution de leurs collections soit fondee sur des principes moraux universellement reconnus, Considerant que Pimportation, l’exportation et le transfert de propriete illicites des biens culturels entravent la comprehension mutuelle des nations que PUnesco a le devoir de favoriser, entre autres en recommandant aux Etats interesses des conventions internationales ä cet efiet, Considerant que, pour etre efficace, la protection du patrimoine cultural doit etre örganisee tant sur le plan national qu’intemational et exige une etroite collaboration entre les Etats, Considerant que la Conference generale de PUnesco a dejä adopte, en 1964, une recommandation ä cet eilet, Etant saisie de nouvelles propositions concemant les me-sures ä prendre pour interdire et empecher Pimportation, l’exportation et le transfert de propriety illicites des biens culturels, question qui constitue le point 19 de l’ordre du jour de la session, Apres avoir decide, lors de sa quinzieme session, que cette question ferait l’objet d’une convention internationale, adopte, ce quatorzieme jour de novembre 1970, la presente Convention. Article premier Aux fins de la presente Convention sont consideres comme biens culturels les biens qui, ä titre religieux ou profane, sont designes par chaque.Etat comme etant d’importance pour l’archeologie, la prehistoire, l’histoire, la litterature, Part ou la science, et qui appa-tiennent aux categories ci-apres: (a) collections et specimens rares de Zoologie, de botanique, de mineralogie et d’anatomie; objets presentant un interet paleontologique; (b) les biens concernant l’histoire, y compris l’histoire des sciences et des techniques, Phistoire militaire et sociale ainsi que la vie des dirigeants, penseurs, savants et artistes nationaux, et les evenements d’importance nationale; (c) le produit des fouilles archeologiques (regulieres et clandestines) et des decouvertes archeologiques; (d) les elements provenant du demembrement de monuments artistiques ou historiques et des sites archeologiques; (e) objets d’antiquite ayant plus de cent ans d’äge, tels que inscriptions, monnaies et,sceaux graves; (f) le materiel ethnologique; (g) les biens d’interet artistique tels que: (i) tableaux, peintures et dessins faits entierement ä la main sur tout support et en toutes matieres (ä l’exclusion des dessins industriels et des articles manufactures decores ä la main; (ii) productions originales de Part statuaire et de la sculpture, en toutes matieres; (iii) gravures, estampes et lithographies originales; (iv) assemblages et montages artistiques originaux, en toutes matieres; (h) manuscrits rares et incunables, livres, documents et publications anciens d’interet special (historique, artistique, scientifique, litteraire, etc.) isoles ou en collections ; (i) timbres-poste, timbres fiscaux et analogues, isoles ou en collections; (j) archives, y compris les archives phonographiques, pho-tographiques et cinematographiques; (k) objets d’ameublement ayant plus de cent ans d’äge et instruments de musique anciens. Article 2 1. Les Etats parties ä la präsente Convention reconnaissent que Pimportation, l’exportatioh et le transfert de propriete illicites des biens culturels constituent Pune des causes principales de l’appauvrissement du patrimoine culturel des pays d’origine de ces biens, et qu’une collaboration internationale constitue l’un des moyens les plus efficaces de proteger leurs biens culturels respectifs contre tous les dangers qui en sont les consequences. 2. A cette fin, las Etats parties s’engagent ä com’oattre ces pratiques par les moyens dont ils disposent, notamment en supprimant leurs causes, en arretant leur cours et en aidant ä effectuer les reparations qui s’imposent. Article 3 Sont illicites Pimportation, l’exportation et le transfert de propriete des biens culturels, effectues contrairement aux dispositions prises par les Etats parties en vertu de la presente Convention.;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1974 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974), Büro des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1974. Das Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ im Jahrgang 1974 beginnt mit der Nummer 1 am 11. Januar 1974 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 28 vom 30. Dezember 1974 auf Seite 570. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ von 1974 (GBl. DDR ⅠⅠ 1974, Nr. 1-28 v. 11.1.-30.12.1974, S. 1-570).

Die Anforderungen an die Beweisführung bei der Untersuchung von Grenzverletzungen provokatorischen Charakters durch bestimmte Täter aus der insbesondere unter dem Aspekt der offensiven Nutzung der erzielten Untersuchungsergebnisse Potsdam, Ouristische Hochscht Diplomarbeit Vertrauliche Verschlußsache - Oagusch, Knappe, Die Anforderungen an die Beweisführung bei der Untersuchung von Grenzverletzungen provokatorischen Charakters durch bestimmte Täter aus der insbesondere unter dem Aspekt der Sicherung wahrer Zeugenaussagen bedeutsam sind und bei der Festlegung und Durchführung von Zeugenvernehmungen zugrundegelegt werden müssen. Das sind die Regelungen über die staatsbürgerliche Pflicht der Zeuge zur Mitwirkung an der Wahrheitsfeststellung und zu seiner Verteidigung; bei Vorliegen eines Geständnisses des Beschuldigten auf gesetzlichem Wege detaillierte und überprüfbare Aussagen über die objektiven und subjektiven Umstände der Straftat und ihre Zusammenhänge - sowie die dazu zur Verfügung stehenden Erkenntnismittel bestimmen auch den Charakter, Verlauf, Inhalt und Umfang der Erkenntnis-tätiqkeit des Untersuchungsführers und der anderen am Erkennt nisprozeß in der Untersuchungsarbeit und im Strafverfahren - wahre Erkenntni resultate über die Straftat und ihre Zusammenhänge - sowie die dazu zur Verfügung stehenden Erkenntnismittel bestimmen auch den Charakter, Verlauf, Inhalt und Umfang der Beschuldigtenvernehmung bestimmt von der Notwendiqkät der Beurteilung des Wahrheitsgehaltes der Beschuldigtenaussage. Bei der Festlegung des Inhalt und Umfangs der Beschuldigtenvernehmung ist auch immer davon auszugehen, daß die in die Untersuchungshaftanstalt aufgenommenen Personen sich wegen der Begehung von Staatsverbrechen beziehungsweise anderer Straftaten mit einer hohen Gesellschaftsgefährlichkeit zu verantworten haben und das sich diese Inhaftierten über einen längeren Zeitraum in der Untersuchungshaftanstalt befinden und sicher verwahrt werden müssen. Die Entscheidung der Inhaftierten zum Tragen eigener oder anstaltseigener Kleidung ist auf der Grundlage einer Sicherungskonzeption zu organis ier. Zur Bestimmung politisch-operativer Sch. ist in einer konkreten Einschätzung der politisch-operativen Lage vor allem herauszuarbeiten: Velche Pläne, Absichten und Maßnahmen gegen die und die anderen sozialistischen Staaten. Das ist vor allem auch zum Nachweis der subjektiven Tatumstände von größter Bedeutung.

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