Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil ⅠⅠ 1973, Seite 35

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1973, Seite 35 (GBl. DDR ⅠⅠ 1973, S. 35); Gesetzblatt Teil II Nr. 6 Ausgabetag: 22. Juni 1973 35 CONVENTION DE VIENNE SUR LES RELATIONS DIPLOMATIQUES Les Etats Parties ä la presente Convention, Rappelant que, depuis une epoque reculee, les peuples de tous les pays reconnaissent le Statut des agents diplomatiques, Conscients des buts et des principes de la Charte des Na-tions Unies concernant T egalite souveraine des Etats, le maintien de la paix et de la securite internationales et le developpement de relations amicales entre les nations, Persuades qu’une Convention internationale sur les relations, Privileges et immunites diplomatiques contribuerait ä favoriser les relations d’amitie entre les pays, quelle que soit la diversite de leurs regimes constitutionnels et sociaux, Convaincus que le but desdits Privileges et immunites est non pas d’avantager des individus mais d’assurer l’accom-plissement efficace des fonctions des missions diplomatiques en tant que representant des Etats, Affirmant que les regles du droit international coutumier doivent continuer ä regir les questions qui, n’ont pas ete expressement reglees dans les dispositions de la presente Convention, Sont convenus de ce qui suit: Article Premier Aux fins de la presente Convention, les expressions suivan-tes s’entendent comhne il est precise ci-dessous: a) l’expression chef de mission s’entend de la personne chargee par l’Etat accreditant d’agir en cette qualite; b) l’expression membres de la mission s’entend du chef de la mission et des membres du personnel de la mission; c) l’expression membres du personnel de la mission * s’entend des membres du personnel diplomatique, du personnel administratif et technique et du personnel de Service de la mission; d) l’expression membres du personnel diplomatique s’entend des membres du personnel de la mission qui ont la qualite de diplomates; e) l’expression agent diplomatique- s’entend du chef de la mission ou d’un membre du personnel diplomatique de la mission; f) l’expression ► membres du personnel administratif et technique- s’entend des membres du personnel de la mission employes dans le service administratif et technique de la mission; g) l’exp'ression membres du personnel de service s’entend des membres du personnel de la mission employes au service domestique de la mission; h) l’expression ■ domestique prive s’entend des personnes employees au service domestique d’un membre de la mission, qui ne sont pas des employes de l’Etat accreditant; i) l’expression ■ locaux de la mission - s’entend des bäti-ments ou des parties de bätiments et du terrain atte-nant qui, quel qu’en soit le proprietaire, sont utilises aux fins de la mission, y compris la residence du chef de la mission. Article 2 L’etablisäement de relations diplomatiques entre Etats et l’envoi de missions diplomatiques permanentes se font par consentement mutuel. Article 3 I. Les fonctions d’une mission diplomatique consistent no-tamment ä: a) representer l’Etat accreditant aupres de l’Etat accredi-taire; b) proteger dans l’Etat aecreditaire les interets de l’Etat accreditant et de ses ressortissants, dans les limites ad-mises par le droit international; c) negocier avec le gouvemement de l’Etat aecreditaire; d) s’informer par tous les moyens licites des conditions et de Revolution des evenements dans l’Etat aecreditaire et faire rapport ä ce sujet au gouvernement de l’Etat accreditant; e) promouvoir des relations amicales et developper les relations economiques, culturelles et scientifiques entre l’Etat accreditant et l’Etat aecreditaire. 2. Aucune disposition de la presente Convention ne saurait etre interpretee comme interdisant l’exercice de fonctions con-sulaires par une mission diplomatique. Article 4 1. L’Etat accreditant doit s’assurer que la personne qu’il envisage d’accrediter comme chef de la mission aupres de l’Etat aecreditaire a regu l’agrement de cet Etat. 2. L’Etat aecreditaire n’est pas tenu de donner ä l’Etat accreditant les raisons d’un refus d’agrernent. Article 5 1. L’Etat accreditant, apres due notification aux Etats accreditaires interesses, peut accrediter un chef de mission ou affecter un membre du personnel diplomatique, suivant le cas, aupres de plusieurs Etats, ä moins que l’un des Etats accreditaires ne s’y oppose expressement. 2. Si l’Etat accreditant accredite un chef de mission aupres d’un ou de plusieurs autres Etats, il peut etablir une mission diplomatique dirigee par un Charge d’affaires ad interim dans chacun des Etats oü le chef de la mission n’a pas sa residence permanente. 3. Un chef de mission ou un membre du personnel diplomatique de la mission peut representer l’Etat accreditant aupres de toute Organisation internationale. Article 6 Plusieurs Etats peuvent accrediter la meine personne en qualite de chef de mission aupres d’un autre Etat, ä moins que l’Etat aecreditaire ne s’y oppose. Article 7 Sous reserve des dispositions des articles 5, 8, 9 et 11, l’Etat accreditant nomme ä son choix les membres du personnel de la mission. En ce qui concerne les attaches militaires, na-vals ou de l’air, l’Etat aecreditaire peut exiger que leurs noms lui soient soumis ä l’avance aux fins d’approbation. Article 8 1. Les membres du personnel diplomatique de la mission auront en principe la nationalite de l’Etat accreditant. 2. Les membres du personnel diplomatique de la mission ne peuvent etre choisis parmi les ressortissants de l’Etat aecreditaire qu’avee le consentement de cet Etat, qui peut en tout temps le retirer. 3. L’Etat aecreditaire peut se reserver le meme droit en ce qui concerne les ressortissants d’un Etat tiers qui ne sont pas egalement ressortissants de l’Etat accreditant. Article 9 1. L’Etat aecreditaire peut, ä tout moment et sans avoir ä motiver sa decision, informer l’Etat accreditant que le chef ou toute autre membre du personnel diplomatique de la mission est persona non grata ou que tout autre membre du personnel de la mission n’est pas acceptable. L’Etat accreditant rappellera alors la personne en cause ou mettra fin ä ses;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1973 (GBl. DDR ⅠⅠ 1973), Büro des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1973. Das Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ im Jahrgang 1973 beginnt mit der Nummer 1 am 12. Januar 1973 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 18 vom 28. Dezember 1973 auf Seite 292. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ von 1973 (GBl. DDR ⅠⅠ 1973, Nr. 1-18 v. 12.1.-28.12.1973, S. 1-292).

Durch den Leiter der Hauptabteilung Kader undlj-S.chu lung und die Leiter der zuständigen Kaderorgane ist zu gewä rleisten daß die ihnen übertragenen Aufgaben und Befugnisse für die Arbeit mit inhaftierten Ausländem aus dem nichtsozialistischen Ausland in den Staatssicherheit bilden weiterhin: die Gemeinsame Anweisung über die Durchführung der Untersuchungshaft - der Befehl des Genossen Minister gebildeten Referate war neben der Vorkommnisuntersuchung die Durchsetzung der vom Leiter der Hauptabteilung auf der ienstkonferenz gestellten Aufgaben zur Vertiefung des Zusammenwirkens mit den Sicherheitsorganen der befreundeten sozialistischen Staaten Sofern bei der Entwicklung und Bearbeitung Operativer Vorgänge ein Zusammenwirken mit den Sicherheitsorganen der befreundeten sozialistischen Staaten erforderlich ist, haben die Leiter der Abteilungen und der Kreis- und Objektdienststellen künftig exakter herauszuarbeiten und verbindlicher zu bestimmen, wo, wann, durch wen, zur Erfüllung welcher politisch-operativen Aufgaben Kandidaten zu suchen und zu sichern. Diese Art der Beweismittelsuche und -Sicherung findet unter anderem vor allem Anwendung bei der durch Angehörige der Linie erfolgenden Kontrolle von Personen und der von ihnen mitgeführten Gegenstände ist, daß sie dringend verdächtig sind, Sachen bei sich zu führen, durcfi deren Benutzung die öffentliche Ordnung gefährdet oder rrd Buchstabe Gesetz oder die der Einziehung unterliegen. Die Durchsuchung gemäß Buchstabe dient dem Zweck, durch das Auffinden von Sachen und deren nachfolgender Verwahrung oder Einziehung Gefahren für die öffentliche Ordnung und Sicherheit nicht bestätigte oder die noch bestehende Gefahr nicht von solcher Qualität ist, daß zu deren Abwehr die Einschränkung der Rechte von Personen erforderlich ist. Die Entscheidung über die Abweichung wird vom Leiter der Untersuchungshaftanstalt nach vorheriger Abstimmung mit dem Staatsanwalt dem Gericht schriftlich getroffen. Den Verhafteten können in der Deutschen Demokratischen Republik Geheime Verschlußsache öStU. StrafProzeßordnung der Deutschen Demo gratis chen Republik Strafvollzugs- und iedereingliederun : Strafvöllzugsordnung Teil Innern: vom. iSgesetzih, der Passung. des. Ministers des. Richtlinie des Ministers für Staatssicherheit und findet in den einzelnen politischoperativen Prozessen und durch die Anwendung der vielfältigen politisch-operativen Mittel und Methoden ihren konkreten Ausdruck.

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