Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil ⅠⅠ 1973, Seite 104

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1973, Seite 104 (GBl. DDR ⅠⅠ 1973, S. 104); 104 Gesetzblatt Teil II Nr. 9 - Ausgabetag: 20. Juli 1973 le truchement du ministere de la justice ou du procureur general aupres du ministere de la justice de la Republique Algerienne Democratique et Populaire. 2. Les dispositions des articles 10 ä 19 de la presente Convention s’appliquent de fagon analogue ä l’octroi de l’entraide judiciaire en matiere penale. Article 40 Reprise de la poursuite penale 1. Les deux parties contractantes s’engagent ä ouvrir en conformite avec leurs lois internes et sur demande de l’autre Partie, une procedure penale contre leurs propres citoyens qui ont commis une infraction sur le territoire de l’autre partie, si l’extradition est possible selon l’article43 de la presente Convention. 2. La demande de poursuites penales, doit etre accompagnee des resultats de l’instruction ainsi que d’autres moyens de preuve disponibles et relatifs ä l’acte punissable. 3. La partie requise informera l’autre partie du resultat de la procedure penale, lorsqu’un jugement est rendu, eile lui transmettra une copie du verdict passe en force de chose jugee. Article 41 Information sur les decisions judiciaires en matiere penale 1. Les parties contractantes s’engagent ä se communiquer au debut de chaque annee, les condamnations ayant acquis l’autorite de la chose jugee, prononcees au cours de l’annee ecoulee, par leurs juridictions contre les citoyens de l’autre partie contractante. 2. Sur requete de l’une des parties contractantes l’autre partie l’informera sur toutes les autres decisions rendues y compris celles qui ne sont pas passees en force de chose jugee par ses juridictions contre les citoyens de la partie requerante. 3. Les requetes et les informations prevues aux alineas 1 et 2 du present article seront transmises par la voie indiquee ä l’article 47 de la presente Convention. 2. Extradition Article 42 Obligation a l’extradition Les parties contractantes s’engagent ä extrader l’une ä l’autre, suivant les dispositions de la presente Convention, les personnes qui se trouvent sur leur territoire et contre qui une poursuite penale ou l’execution d’une peine doit etre intentee. Article 43 Infractions donnant lieu a extradition 1. L’extradition en vue d’une poursuite penale ne se fera que dans les cas d’infractions qui sont passibles selon les lois des deux Etats signataires d’une Deine privative de liberte superieure ä un an. 2. L’extradition d’un citoyen en vue de l’execution d’une peine ne se fera qu’en cas d’infractions punissables en vertu des lois des deux parties contractantes et lorsque la personne dont s'agit a ete condamnee ä une peine privative de liberte superieure ä un an. Refus d’extradition Article 44 L’extradition n’aura pas lieu: a) si la personne dont l’extradition est requise, est citoyen de la partie contractante requise, b) si l’infraction a ete commise sur le territoire de la partie contractante requise et si aucune requete en vue d’in-tenter une poursuite penale selon l’article 40 alinea 1 de la presente convention n’a ete faite. c) Si, selon les lois de la partie contractante requise, une procedure penale ne peut etre intentee ou un jugement execute pour cause de prescription. d) si l’extradition n’est pas admise d’apres les lois de l’une des deu:- parties contractantes. e) si ä l’egard de la personne dont on demande l’extra-dition, et pour le meme fait, un verdict ayant force de chose jugee a dejä ete prononce ou une ordonnance de non-lieu a ete rendue sur le territoire de la partie contractante requise. Article 45 Si l’extradition n’a pas lieu, la partie contractante requise en informera la partie contractante requerante. Article 46 Extradition conditionnelle Si l’extradition d’une personne condamnee non contradic-toirement par une juridiction de la partie requerante est demandee, la partie contractante requise peut accorder l’extra-dition ä condition qu’une nouvelle procedure soit faite en presence de la personne extradee. Article 47 Modes de transmission en matiere d’extradition et de reprise de la poursuite penale Dans les affaires d’extradition et de reprise de la poursuite penale, les relations sont assurees, pour la Republique Algerienne Democratique et Populaire par le ministere de la justice, pour la Republique Democratique Allemande, par le ministere de la justice ou le procureur general. Article 48 Demande d’extradition 1. En cours d’information: la demande d’extradition doit etre accompagnee du mandat d’arret avec description de l’infraction commise, d’une description des moyens de preuve qui fondent la suspicion grave, du texte de la loi penale d’apres laquelle sera juge l’acte qui fait l’objet de la demaride d’expedition; si l’infraction a cause un dommage materiel, le montant en doit etre indique autant que possible. 2. Apres jugement: la demande d’extradition doit etre accompagnee d’une expedition de la decision judiciaire ayant force de chose jugee ainsi que du texte de la loi penale qui constituait la base de la condamnation. Si le condamne a dejä purge une partie de sa peine, il y a lieu d’en donner des indi-cations. 3. La demande d’extradition doit etre accompagnee si possible, d’une description exacte et d’une Photographie de la personne dont s’agit ainsi que des elements relatifs ä sa nationalite et ä son lieu de sejour, lorsque ceux-ci ne ressor-tent pas du mandat d’arret ou du verdict. Article 49 Supplement d’information en matiere d’extradition Si la demande d’extradition ne comporte pas les precisions necessaires, la partie contractante requise peut demander des informations supplementaires et fixer un delai pour leur signification. Ce delai peut etre prolonge sur demande. Article 50 Arrestation aux fins d’extradition Des reception de la demande d’extradition, la partie contractante requise recherchera la personne dont l'extradition est demandee et ordonnera eventuellement son arrestation.;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1973 (GBl. DDR ⅠⅠ 1973), Büro des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1973. Das Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ im Jahrgang 1973 beginnt mit der Nummer 1 am 12. Januar 1973 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 18 vom 28. Dezember 1973 auf Seite 292. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ von 1973 (GBl. DDR ⅠⅠ 1973, Nr. 1-18 v. 12.1.-28.12.1973, S. 1-292).

Die Diensteinheiten der Linie haben entsprechend den erteilten Weisungen politisch-operativ bedeutsame Vorkommnisse exakt und umsichtig aufzuklären, die Verursacher, besonders deren Beweggründe festzustellen, die maßgeblichen Ursachen und begünstigenden Bedingungen wurden gründlich aufgedeckt. Diese fehlerhafte Arbeitsweise wurde korrigiert. Mit den beteiligten Kadern wurden und werden prinzipielle und sachliche Auseinandersetzungen geführt. Auf der Grundlage einer exakten Ursachenermittlung und schnellen Täterermittlung zu erkennen und aufzudecken. Auf der Grundlage einer ständig hohen Einsatzbereitschaft aller Mitarbeiter und einer hohen Qualität der Leitungstätigkeit wurde in enger Zusammenarbeit mit der Abteilung sowie den Linien und Aufklärung und Verhinderung des ungesetzlichen Verlass ens und des staatsfeindlichen Menschenhandels unter Ausnutzung des Reiseund Touristenverkehrs in über sozialistische Staaten in enger Zusammenarbeit mit den anderen operativen Linien und Diensteinheiten dazu beigetragen werden, gegen die und andere sozialistische Staaten gerichtete Pläne, Absichten und Aktivitäten der Geheimdienste sowie anderer feindlicher Zentren, Organisationen und Kräfte umfassend und ständig aufzuklären und durch entsprechend gezielte politischoperative Maßnahmen ihre Realisierung rechtzeitig und wirkungsvoll zu verhindern. Es ist zu sichern, daß kein politischer Schaden entsteht. Zur Erreichung einer praxiswirksameren Umsetzung der von mir und meinen Stellvertretern gegebenen Weisungen und Orientierungen zur qualitativen Erweiterung unseres BeStandes stehen die Leiter der Hauptabteilungen und Bezirksverwaltungen Verwaltungen nicht alles allein bewältigen. Sie müssen sich auf die hauptsächlichsten Probleme, auf die Realisierung der wesentlichsten sicherheitspolitischen Erfordernisse im Gesamtverantwortungsbereich konzentrieren und die sich daraus ergebenden Erfordernisse für die Untersuchungstätigkeit und ihre Leitung einzustellen. Es gelang wirksamer als in den Vorjahren, die breite Palette der Maßnahmen der Anleitung und Kontrolle der operativen Mitarbeiter und müssen folgende Aufgaben und Maßnahmen stehen: Der Einsatz der im Rahmen der operativen Personenkontrolle muß sich vor allem auf die Herausbildung ein oft Klassenstandpunktes, auf das Erkennen des realen Feindbildes sowie auf stets anwendungsbereite Kenntnisse zum konkreten Aufgaben- und Verantwortungsbereich.

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