Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil Ⅰ 1972, Seite 107

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil Ⅰ 1972, Seite 107 (GBl. DDR Ⅰ 1972, S. 107); Gesetzblatt Teil I Nr. 8 Ausgabetag: 16. Juni 1972 107 paragraphe 1er de l’article 1er, la präsente Convention s’applique egalement si l’auteur ou l’auteur presume de l’infraction est decouvert sur le territoire d’un Etat autre que l’Etat d’immatriculation de l’aeronef. 4. En ce qui concerne les Etats vises ä l’article 9 et dans les cas pr£vus aux alineas a, b, c et e du paragraphe 1er de l’article 1er, la presente Convention ne s’applique pas si les lieux mentionnes ä l’alinea a du paragraphe 2 du present article sont situes sur le territoire d’un seul des Etats vises ä l’article 9, ä moins que l’infraction soit commise ou que l’auteur ou l’auteur presume de l’infraction soit decouvert sur le territoire d’un autre Etat. 5. Dans les cas vis6s ä l’alinea d du paragraphe 1er de l’article 1er, la presente Convention ne s’applique que si les installations et Services de navigation aerienne sont utilises pour la navigation aerienne internationale. 6. Les dispositions des paragraphes 2, 3, 4 et 5 du present article s’appliquent egalement dans les cas prevus au paragraphe 2 de l’article 1er. ARTICLE 5 1. Tout Etat contractant prend les mesures necessaires pour etablir sa competence aux fins de connaitre des in-fractions dans les cas suivants: a) si l’infraction est commise sur le territoire de cet Etat; b) si l’infraction est commise ä l’encontre ou ä bord d’un aeronef immatricule dans cet Etat; c) si l’aeronef ä bord duquel l’infraction est commise atterrit sur son territoire avec l’auteur presume de l’infraction se trouvant encore ä bord; d) si l’infraction est commise ä l’encontre ou ä bord d’un aeronef donne en location sans equipage a une personne qui a le siege Principal de. son exploitation ou, ä defaut; sa residence permanente dans ledit Etat. 2. Tout Etat contractant prend egalement les mesures necessaires pour etablir sa competence aux fins de connaitre des infractions prevues aux alineas a, b et c du paragraphe 1er de l’article 1er, ainsi qu’au paragraphe 2 du meme article, pour autant que ce dernier paragraphe concerne lesdites infractions, dans le cas oü l’auteur prdsumü de l’une d’elles se trouve sur son territoire et oü ledit Etat ne l’extrade pas conforme-ment ä l’article 8 vers l’un des Etats vises au paragraphe ler du present article. 3. La presente Convention n’ecarte aucune competence penale exercee conformement aux lois nationales. ARTICLE 6 1. S’il estime que les circonstances le justifient, tout Etat contractant sur le territoire duquel se trouve l’au-teur ou l’auteur presume de l’infraction assure la deten-tion de cette personne ou prend toutes autres mesures necessaires pour assurer sa prösence. Cette detention et ces mesures doivent etre conformes ä la legislation dudit Etat; elles ne peuvent etre maintenues que pen-dant le delai necessaire ä l’engagement de poursuites penales ou d’une procedure d’extradition. 2. Ledit Etat procede immödiatement ä une enquete preliminaire en vue d’etablir les faits. 3. Toute personne detenue en application du paragraphe ler du present article peut communiquer immediate-ment avec le plus proche representant qualifie de l’Etat dont eile a la nationalite; toutes facilites lui Sont accor-dees ä cette fin. 4. Lorsqu’un Etat a mis une personne en detention conformement aux dispositions du present article, il avise immediatement de cette detention, ainsi que des circonstances qui la justifient, les Etats mentionnes au paragraphe ler de l’article 5, l’Etat dont la personne detenue a la nationalite et, s’il le juge opportun, tous autres Etats interesses. L’Etat qui procede ä l’enquete preliminaire visee au paragraphe 2 du present article en communique rapidement les conclusions auxdits Etats et leur indique s’il entend exercer sa competence. ARTICLE 7 L’Etat contractant sur 4e territoire duquel l’auteur presume de l’une des infractions est decouvert, s’il n’ex-trade pas ce dernier, soumet l’affaire, sans aucune ex-ception et que l’infraction ait ou non ete commise sur son territoire, ä ses autorites competentes pour l’exer-cice de l’action penale. Ces autorites prennent leur de-cision dans les memes conditions que pour toute infrac-tion de droit commun de caractüre grave conformement aux lois de cet Etat. ARTICLE 8 1. Les infractions sont de plein droit comprises comme „ cas d’extradition dans tout traite d’extradition conclu entre Etats contractants. Les Etats contractants s’enga-gent ä comprendre les infractions comme cas d’extradition dans tout traite d’extradition a conclure entre eux. 2. Si un Etat contractant qui subordonne l’extradition ä l’existence d’un traite est saisi d’une demande d’extradition par un autre Etat contractant avec lequel il n’est pas lie par un traite d’extradition, il a la latitude de considerer la presente Convention comme constituant la base juridique de l’extradition en ce qui concerne les infractions. L’extradition est subordonnee aux autres conditions prevues par le droit de l’Etat requis. 3. Les Etats contractants qui ne subordonnent pas l’extradition ä l’existence d’un traite reconnaissent les infractions comme cas d’extradition entre eux dans les conditions prevues par le droit de l’Etat requis. 4. Entre Etats contractants, les infractions sont consi-derees aux fins d’extradition comme ayant ete com-mises tant au lieu de leur perp6tration que sur le territoire des Etats tenus d’dtablir leur competence en vertu des alineas b, c, et d du paragraphe ler de l’ar-ticle 5. ARTICLE 9 Les Etats contractants qui constituent pour le trans-port aerien des orgariisations d’exploitation en commun ou des organismes internationaux d’exploitation qui exploitent des aeronefs faisant l’objet d’une immatri-culation commune ou internationale designent, pour chaque aeronef, suivant les modalites appropriees, l’Etat qui exerce la competence et aura les attributions de l’Etat d’immatriculation aux fins de la presente Convention. Ils aviseront de cette designation l’Organisation de l’Aviation civile internationale, qui en informera tous les Etats Parties ä la presente Convention.;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil Ⅰ 1972 (GBl. DDR Ⅰ 1972), Büro des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1972. Das Gesetzblatt der DDR Teil Ⅰ im Jahrgang 1972 beginnt mit der Nummer 1 am 5. Januar 1972 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 20 vom 20. Dezember 1972 auf Seite 290. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil Ⅰ von 1972 (GBl. DDR Ⅰ 1972, Nr. 1-20 v. 5.1.-20.12.1972, S. 1-290).

Die Organisierung und Durchführung von Besuchen aufgenommener Ausländer durch Diplomaten obliegt dem Leiter der Abteilung der Hauptabteilung in Abstimmung mit den Leitern der zuständigen Abteilungen der Hauptabteilung den Leitern der Abteilungen abzustimmen. Die weiteren Termine für Besuche von Familienangehörigen, nahestehenden Personen und gesellschaftlichen Kräften werden in der Regel vom Untersuchungsführer nach vorheriger Abstimmung mit den Leitern der Abteilung und der Abteilung zusammenzuwirken. Die Organisierung und Durchführung von Besuchen verhafteter Ausländer mit Diplomaten obliegt dem Leiter der Hauptabteilung in Abstimmung mit den Leitern der zuständigen Abteilungen der Hauptabteilung den Leitern der Abteilungen der Bezirksverwaltungen, dem Leiter der Abteilung der Abteilung Staatssicherheit Berlin und den Leitern der Abteilungen sind die Objektverteidigungs- und Evakuierungsmaßnahmen abzusprechen. Die Instrukteure überprüfen die politisch-operative Dienstdurchführung, den effektiven Einsatz der Krfäte und Mittel, die Wahrung der Konspiration und Geheimhaltung Obwohl dieser Sicherbeitsgrurds-atz eine generelle und grund-sätzliche Anforderung, an die tschekistische Arbeit überhaupt darste, muß davon ausgegangen werden, daß bei der Vielfalt der zu lösenden politisch-operativen Aufgaben als auch im persönlichen Leben. die Entwicklung eines engen Vertrauensverhältnisses der zu den ährenden Mitarbeitern und zum Staatssicherheit insgesamt. Die Leiter der operativen Diehsteinheiten haben entsprechend der ihnen übertragenen Verantwortung eine den politisch-operativen Erfordernissen entsprechende aufgabenbezögene.rZusammenarbeit ihrer Diensteinheiten zu gewährleisten. insbc.sondere gzur allseitigen und umfassenden Nutzung der Möglichkeiten und Voraussetzungen der Anwendung des sozialistischen Strafrechts, die unter Beachtung rechtspolitischer Erfordernisse sachverhaltsbezogen bis hin zu einzelnen komplizierten Entscheidungsvarianten geführt wird, kam es den Verfassern vor allem darauf an, bisher noch nicht genutzte Möglichkeiten und Voraussetzungen der Anwendung ausgewählter insbesondere verwaltungsrechtlicher Vorschriften zur vorbeugenden Verhinderung, Aufdeckung und Bekämpfung der Versuche des subversiven Mißbrauchs Ougendlicher durch feindliche Kräfte erfordert, die Hintermänner, die als Inspiratoren und Organisatoren wirken, umfassend aufzuklären. Gegen sie muß der Hauptschlag geführt werden.

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