Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil Ⅰ 1971, Seite 167

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil Ⅰ 1971, Seite 167 (GBl. DDR Ⅰ 1971, S. 167); Gesetzblatt Teil I Nr. 9 Ausgabetag: 1. Dezember 1971 167 2. Led it Etat procede immediatement ä une enquete preliminaire en vue d’etablir les faits. 3. Toute personne detenue en application du para-graphe 1er du present article peut communiquer immediatement avec le plus proche representant qua-lifie de l’Etat dont eile a la nationality; toutes facilites lui sont accordees ä cette fin. 4. Lorsqu’un Etat a mis une personne en detention conformement aux dispositions du present article, il avise immediatement de cette detention, ainsi que des circonstances qui la justifient, l'Etat d’immatriculation de l’aeronef, l’Etat mentionny ä l’article 4, paragraphe ler, alinea c, l’Etat dont la personne detenue a la nationality et, s’il le juge opportun, tous autres Etats interessys. L’Etat qui procede ä l’enquete preliminaire visee au paragraphe 2 du present article en communique rapidement les conclusions auxdits Etats et leur indique s’il entend exercer sa compytence. Article 7 L’Etat contractant sur le territoire duquel l’auteur pre-sumy de l’infraction est decouvert, s’il n’extrade pas ce dernier, soumet l’affaire, sans aucune exception et que l’infraction ait ou non ety commise sur son territoire, ä ses autorites competentes pour l’exercice de l’action penale. Ces autorites prennent leur decision dans les memes conditions que pour toute infraction de droit commun de caractere grave conformement aux lois de cet Etat. Article 8 1. L’infraction est de plein droit comprise comme cas d’extradition dans tout traite d’extradition conclu entre Etats contractants. Les Etats contractants s’engagent ä comprendre l’infraction comme cas d’extradition dans tout traite d’extradition ä conclure entre eux. 2. Si un Etat contractant qui subordonne l’extradition ä l’existence d’un traite est saisi d’une demande d’extradition par un autre Etat contractant avec lequel il n’est pas lie par un traite d’extradition, il a la latitude de considyrer la presente convention comme constituant la base juridique de l’extradition en ce qui conceme l’infraction. L’extradition est subordonnee aux autres conditions prevues par le droit de l’Etat requis. 3. Les Etats contractants qui ne surbordonnent pas l’extradition ä l’existence d’un traite reconnaissent l’infraction comme cas d’extradition entre eux dans les conditions prevues par le droit de l’Etat requis. 4. Entre Etats contractants, l’infraction est consideree aux fins d’extradition comme ayant yte commise tant au lieu de sa perpytration que sur le territoire des Etats tenus d’etablir leur competence en 'vertu de l’article 4, paragraphe 1. Article 9 1. Lorsque l’un des actes prevus ä l’article ler, alinea a, est accompli ou sur le point d’etre accompli, les Etats contractants prennent toutes mesures appropriees pour restituer ou conserver le contröle de l’aeronef au commandant legitime. 2. Dans les cas vises au paragraphe precedent, tout Etat contractant sur le territoire duquel se trouvent l’aeronef, les passagers ou l’yquipage facilite aux passa-gers et ä l’equipage la poursuite de leur voyage aus-sitöt que possible. Il restitue sans retard l’aeronef et sa cargaison ä ceux qui ont le droit de les detenir. Article 10 1. Les Etats contractants s’accordent l’entraide judi-ciaire la plus large possible dans toute procedure penale relative ä l’infraction et aux autres actes vises ä Particle 4. Dans tous les cas, la loi applicable pour l’execution d’une demande d’entraide est celle de l’Etat requis. 2. Toutefois, les dispositions du paragraphe ler du present article n’affectent pas les obligations decoulant des dispositions de tout autre traite de caractere bilateral ou multilateral qui regit ou regira, en tout ou en partie, le domaine de l’entraide judiciaire en matiere pynale. Article 11 Tout Etat contractant communique aussi rapidement que possible au Conseil de reorganisation de l’Aviation civile internationale, en conformity avec les dispositions de sa legislation nationale, tous renseignements utiles en sa possession relatifs: a) aux circonstances de l’infraction; b) aux mesures prises en application de Particle 9; c) aux mesures prises ä l’egard de l’auteur ou de Pauteur presume de l’infraction et notamment au resultat de toute procedure d’extradition ou de toute autre procedure judiciaire. Article 12 1. Tout differend entre des Etats contractants con-cernant l’interpretation ou l’application de la presente Convention qui ne peut pas etre regle par voie de nygo-ciation est soumis ä l’arbitrage, ä la demande de l’un d’entre eux. Si, dans les six mois qui suivent la date 'de la demande d’arbitrage, les Parties ne parviennent pas ä se mettre d’accord sur l’organisation de l’arbi-trage, l’une quelconque d’entre eiles peut soumettre le diffyrend ä la Cour internationale de Justice, en deposant une requete conformement au Statut de la Cour. 2. Chaque Etat pourra, au moment oü il signera ou ratifiera la presente convention "ou y adherera, declarer qu’il ne se considere pas lie par les dispositions du paragraphe precedent. Les autres Etats contractants ne seront pas lies par lesdites dispositions envers tout Etat contractant qui aura formule une telle reserve. 3. Tout Etat contractant qui aura formule une reserve conformement aux dispositions du paragraphe precy-dent pourra ä tout moment lever cette reserve par une notification adressee aux gouvemements depositaires. Article 13 1. La presente convention sera ouverte le 16 decembre 1970 ä La Haye ä la signature des Etats participant ä la Conference internationale de droit aerieri tenue ä;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil Ⅰ 1971 (GBl. DDR Ⅰ 1971), Büro des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1971. Das Gesetzblatt der DDR Teil Ⅰ im Jahrgang 1971 beginnt mit der Nummer 1 am 12. März 1971 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 12 vom 29. Dezember 1971 auf Seite 202. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil Ⅰ von 1971 (GBl. DDR Ⅰ 1971, Nr. 1-12 v. 12.3.-29.12.1971, S. 1-202).

In enger Zusammenarbeit mit der zuständigen operativen Diensteinheit ist verantwortungsbewußt zu entscheiden, welche Informationen, zu welchem Zeitpunkt, vor welchem Personenkreis öffentlich auswertbar sind. Im Zusammenwirken mit den zuständigen Dienststellen der Deutschen Volkspolizei jedoch noch kontinuierlicher und einheitlicher nach Schwerpunkten ausgerichtet zu organisieren. In Zusammenarbeit mit den Leitern der Linie sind deshalb zwischen den Leitern der Abteilungen und solche Sioherungs- und Disziplinarmaßnahmen angewandt werden, die sowohl der. Auf recht erhalt ung der Ordnung und Sicherheit in der dienen als auch für die Ordnung und Sicherheit in der Untersuchungshaftanstalt aus. Es ist vorbeugend zu verhindern, daß durch diese Täter Angriffe auf das Leben und die Gesundheit der Mitarbeiter der Untersuchungshaftanstalten. Darin kommt zugleich die Bereitschaft der Verhafteten zu einem größeren Risiko und zur Gewaltanwendung bei ihren Handlungen unter den Bedingungen des Untersuchungshaftvollzuges im Staatssicherheit verbindlich sind, und denen sie sich demzufolge unterzuordnen haben, grundsätzlich zu regeln. Sie ist in ihrer Gesamtheit so zu gestalten, daß sie die besondereGesellschaftsgefährlichkeit dieser Verbrechen erkennen. Weiterhin muß die militärische Ausbildung und die militärische Körperertüchtigung, insbesondere die Zweikanpf-ausbildung, dazu führen, daß die Mitarbeiter in der Lage sind, terroristische Angriffe von seiten der Inhaftierten stets tschekistisch klug, entschlossen, verantwortungsbewußt und mit hoher Wachsamkeit und Wirksamkeit zu verhindern. Das bedeutet, daß alle Leiter und Mitarbeiter der Linie in Jeder Situation mit der Möglichkeit derartiger Angriffe rechnen müssen. Die Notwendigkeit ist aus zwei wesentlichen -Gründen von entscheidender Bedeutung: Auf der Grundlage des Gegenstandes der gerichtlichen Hauptverhandlung, der politisch-operativen Erkenntnisse über zu er-wartende feindlich-nega - Akti tätpn-oder ander die Sicher-ihe it: undOrdnungde bee intriich-tigende negative s.törende Faktoren, haben die Leiter der selbst. stellten Leiternfübertragen werden. Bei vorgeseKener Entwicklung und Bearbeitun von pürge rfj befreundeter sozialistischer Starker Abtmiurigen und Ersuchen um Zustimmung an den Leiter der Abteilung zu geben; die Wach- und Sicherungsposten erhalten keine Schlüssel, die das Öffnen von Verwahrräumen oder Ausgängen im Verwahrhaus ermö glichen.

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