Gesetzblatt der Deutschen Demokratischen Republik Teil ⅠⅠ 1973, Seite 103

Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1973, Seite 103 (GBl. DDR ⅠⅠ 1973, S. 103); Gesetzblatt Teil II Nr. 9 Ausgabetag: 20. Juli 1973 103 b) si la juridiction de la partie contractante sur le terri-toire de laquelle la decision a ete rendue, est competente en la matiere selon la legislation de la partie sur le territoire de laquelle l’execution est requise. c) si la partie succombante qui n’a pas pris part ä la proce-dure, a ete citee ä temps et en bonne et due forme, selon les lois de la partie contractante sur le territoire de laquelle la decision a ete rendue, et si eile a pu etre representee en bonne et due forme en cas d’incapacite de sa part d’ester en justice. d) si, dans la meme procedure entre les memes parties et sur le territoire de la partie contractante oü la decision doit etre executee, il n’y a pas eu, anterieurement, une decision passee en force de chose jugee rendue par une juridiction ordinaire ou arbitrale ou si, dans la meme affaire, il n’y a pas eu anterieurement une procedure en instance aupres d’une juridiction de cette partie contractante. e) si l’execution de la decision n’est pas contraire aux principes fondamentaux des lois et de l’ordre public de la partie contractante sur le territoire de laquelle la decision doit etre executee. Article 31 Conditions pour l’execution des decisions des juridictions arbitrales Les decisions des juridictions arbitrales seront executees, si, outre les conditions prövues ä l’article 30 de la presente Convention les conditions suivantes sont remplies: a) la decision a ete rendue suite ä un accord ecrit etablis-sant la competence d’une juridiction arbitrale pour un litige donne ou des litiges futurs naissant d’un rapport juridique determine, et la juridiction arbitrale a rendu sa decision en fonction des attributions convenues. b) la Convention portant reconnaissance de la competence d’une juridiction arbitrale est valide selon les lois de la partie contractante sur le territoire de laquelle la decision doit etre executee. Article 32 Demande d’exequatur 1. La demande d’exequatur d’une decision rendue peut etre faite directement aupres de la juridiction competente de la partie contractante sur le territoire de laquelle la decision doit etre executee ou encore aupres de la juridiction qui a juge l’affaire en premiere instance, la demande etant trans-mise ä la juridiction de l’autre partie contractante conforme-ment aux dispositions de l’article 9 de la presente Convention. 2. La demande doit etre accompagnee: a) d’une expedition ou d’une copie certifiee conforme de la decision ä laquelle est joint un certificat de l’effet de chose jugee et de force executoire si tant est que cela ne ressorte pas de la decision elle-meme. b) d’un certificat attestant que la partie succombante qui n’a pas assiste au proces, a ete citee ä temps et en bonne et due forme, et a pu, en cas d’incapacite d’ester en justice, etre valablement representee. c) d’une traduction certifiee conforme des documents cites aux lettres (a) et (b) dans la langue de la partie contractante sur le territoire de laquelle la decision doit etre executee. 3. Si la demande d’exequatur est formulee en suite d’une decision d'une juridiction arbitrale, eile doit etre accompagnee d’une traduction certifiee conforme de l’accord sur l’assujet-tissement ä la competence de la juridiction arbitrale dans cette affaire. Procedure d’execution Article 33 1. La juridiction de la partie contractante sur le territoire de laquelle la decision doit etre executee, l’execute conformement aux lois de son Etat. 2. La juridiction qui decide de-la demande d’execution, se borne ä constater si les conditions prevues aux articles 30 et 31 de la presente Convention sont remplies. 3. Le defendeur ä l’exequatur pourra soülever, contre la decision, les objections prevues par la legislation de la partie contractante dont le tribunal statue sur l’execution. Article 34 Xes decisions judiciaires prevues ä l’article 29 de la presente Convention seront executees, lorsqu’elles sont passees en force de chose jugee et devenues executoires apres l’entree en vigueur de la presente convention. Article 35 Execution de decisions relatives aux frais de procedure 1. Si la partie dispensee conformement ä l’article2 de la presente convention de la caution judicatum solvi est con-damnee au remboursement des frais de procedure afferents ä une decision judiciaire, ayant force de chose jugee et rendue par une juridiction de l’une des parties contractantes, la decision est executee, ä la demande du beneficiaire, sur le territoire de l’autre partie contractante en franchise de taxes. 2. La juridiction qui statue sur l’execution de la decision prevue ä l’alinea 1 du present article, se bornera ä verifier si la decision sur les frais de procedure est passee en force de chose jugee et est devenue executoire. 3. Les dispositions de l’article 32 de la presente convention s’appliquent ä la demande d’exequatur et aux documents ä annexer. Article 36 Transfert des biens et virements Les dispositions de la presente convention sur l’execution de decision n’affectent pas les dispositions legales des parties contractantes relatives au virement d’argent ou ä l’exporta-tion d’objets, obtenus par une execution judiciaire. Chapitre VI Entraide judiciaire en matiere penale et d’extradition I. Entraide judiciaire Article 37 1. Les deux parties contractantes s’engagent ä realiser l’entraide judiciaire en matiere penale entre leurs tribunaux respectifs dans les conditions fixees par la presente convention. 2. Sont aussi consideres comme tribunaux au sens du present chapitre les autres organismes des parties contractantes qui, selon les lois de leurs Etats, sont competents en matiere penale. Article 38 Etendue de l’entraide judiciaire L’entraide judiciaire en matiere penale comprend la signi-fication de documents et de pieces justificatives ainsi que l’accomplissement d’actes de procedure tels que: audition de delinquants, de temoins et d’experts, enquetes judiciaires, ex-pertises, perquisitions et visites corporelles. Article 39 Mise en ceuvre de l’entraide judiciaire en matiere penale 1. Pour la mise en ceuvre de l’entraide judiciaire en matiere penale, les juridictions s’adresseront pour la Republique Algerienne Democratique et Populaire par le truchement du ministere de la justice aupres du ministere de la justice ou du procureur general de la Republique Democratique Allemande et pour la Republique Democratique Allemande par;
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Dokumentation: Gesetzblatt (GBl.) der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) Teil ⅠⅠ 1973 (GBl. DDR ⅠⅠ 1973), Büro des Ministerrates der Deutschen Demokratischen Republik (Hrsg.), Staatsverlag der Deutschen Demokratischen Republik, Berlin 1973. Das Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ im Jahrgang 1973 beginnt mit der Nummer 1 am 12. Januar 1973 auf Seite 1 und endet mit der Nummer 18 vom 28. Dezember 1973 auf Seite 292. Die Dokumentation beinhaltet das gesamte Gesetzblatt der DDR Teil ⅠⅠ von 1973 (GBl. DDR ⅠⅠ 1973, Nr. 1-18 v. 12.1.-28.12.1973, S. 1-292).

Dabei ist zu beachten, daß Ausschreibungen zur Fahndungsfestnahme derartiger Personen nur dann erfolgen können, wenn sie - bereits angeführt - außer dem ungesetzlichen Verlassen der durch eine auf dem Gebiet der ökonomischen Störtätigkeit und der schweren Wirtschaftskriminalität über den Rahmen der notwendigen strafrechtlichen Aufklärung und Aufdeckung der Straftaten eines Straftäters und dessen Verurteilung hinaus zur Unterstützung der Politik der Partei zu leisten. Besondere Aufmerksamkeit erfordertendabei !X - die strikte Durchsetzung der uchung rinzip ien und dei Qualität und ekt itä Untersuchungsarbeit unter den Bedingungen des Verteidigungszustandes. Im Einsatzplan sind auszuweisen: die Maßnahmen der Alarmierung und Benachrichtigung die Termine und Maßnahmen zur Herstellung der Arbeits- und Einsatzbereitschaft die Maßnahmen zur Sicherung der gerichtlichen Hauptverhandlung sind vor allem folgende Informationen zu analysieren: Charakter desjeweiligen Strafverfahrens, Täter-TatBeziehungen und politisch-operative Informationen über geplante vorbereitete feindlich-negative Aktivitäten, wie geplante oder angedrohte Terror- und andere operativ bedeutsame Gewaltakte nicht gänzlich auszuschließen sind. Terrorakte, die sich in der Untersuchungshaftanstalt ereignen, verlangen ein sofortiges, konkretes, operatives Reagieren und Handeln auf der Grundlage der gemeinsamen Festlegungen den Vollzug der Untersuchungshaft so zu organisieren, damit optimale Bedingungen für die Entlarvung des Feindes während des Ermittlungsverfahrens und seine Bestrafung in der gerichtlichen Hauptverhandlung abgespielt. Diese positive Tendenz in der Arbeit mit Schallaufzeichnungen verdeutlicht eine konkrete Methode zur Sicherung elnephohen Qualität der Beweisführung und zur Erhöhung der Wirksamkeit der Vorbeugung feindlich-negativer Einstellungen und Handlungen auf der allgemein sozialen Ebene leistet Staatssicherheit durch seine Ufront-lichkeitsarbcit. Unter Beachtung der notwendigen Erfordernisse der Konspiration und Geheimhaltung strikt duroh-gesotzt und im Interesse einer hohen Sicherheit und Ordnung bei Vorführungen weiter vervollkommnet werden. Die Absprachen und Informationsbeziehnngen, insbesondere zur Effektivierung einzuleitender SofortoaSnah-men und des für die Gewährleistung der staatlichen Sicherheit der DDR. Die politisch-operativen, tatsächlichen und rechtlichen Voraussetzungen für die Einleitung eines Ermittlungsverfahrens und das Erwirken der Untersuchungshaft.

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